"Je peux vous assurer que nous serons une maison de verre. Nous serons transparents avec vous", a affirmé le chef du gouvernement, s’adressant au patronat. Il a annoncé que l’élaboration en cours d’une loi de finance rectificative se ferait en concertation avec tous les partenaires économiques. "Tout sera discuté, mais la décision reviendra à l’État", a-t-il précisé.
Dans un discours centré sur le changement de modèle économique, Ousmane Sonko a pointé du doigt les lacunes structurelles du pays. "Avant de redistribuer une richesse, il faut la créer. Or, notre pays n’a jamais su créer suffisamment de richesse", a-t-il déploré, dénonçant "un mauvais modèle de développement". Le Premier ministre a défendu une stratégie fondée sur la transformation locale des matières premières, la substitution des importations et une souveraineté économique réelle.
Reconnaissant les tensions sociales, il a justifié ce pacte comme un levier pour stabiliser le climat et engager des réformes structurelles : "On ne peut pas construire une économie solide tout en luttant contre un front social en ébullition." Il a aussi affirmé que les syndicats et le patronat n’étaient pas les causes des problèmes du pays. "Le plus grand problème de ce pays, c’était le pouvoir politique", a laissé entendre le Premier ministre.
Soulignant la volonté du gouvernement de rompre avec l’opacité et le laxisme, Sonko a rappelé que "sous la présidence de Bassirou Diomaye Faye et ma gouvernance, nous avons posé des jalons" pour incarner les promesses faites avant l’élection. Il a aussi insisté sur le principe de redevabilité. "Dans quatre ans, si les Sénégalais estiment que nous avons échoué, ils pourront choisir autre chose", a-t-il ajouté.
Enfin, il a invité les membres du gouvernement à maintenir une posture d’écoute et d’ouverture ."Hier encore, en Conseil des ministres, j’ai demandé aux ministres de répondre aux correspondances, d’écouter, de dialoguer. Car la communication est la base de tout", a fait savoir le chef du Gouvernement.
Dans un discours centré sur le changement de modèle économique, Ousmane Sonko a pointé du doigt les lacunes structurelles du pays. "Avant de redistribuer une richesse, il faut la créer. Or, notre pays n’a jamais su créer suffisamment de richesse", a-t-il déploré, dénonçant "un mauvais modèle de développement". Le Premier ministre a défendu une stratégie fondée sur la transformation locale des matières premières, la substitution des importations et une souveraineté économique réelle.
Reconnaissant les tensions sociales, il a justifié ce pacte comme un levier pour stabiliser le climat et engager des réformes structurelles : "On ne peut pas construire une économie solide tout en luttant contre un front social en ébullition." Il a aussi affirmé que les syndicats et le patronat n’étaient pas les causes des problèmes du pays. "Le plus grand problème de ce pays, c’était le pouvoir politique", a laissé entendre le Premier ministre.
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