Le Professeur Coumba Kane, plaide pour la réouverture de la seule usine de fabrication de médicaments à base de chloroquine au Sénégal, Médis Sénégal, qui a fermé ses portes depuis le 15 janvier dernier. Le Professeur titulaire de bactériologie à la faculté de médecine, pharmacie et odontologie de l’Ucad a défendu cette positon ce dimanche, lors de l’émission Jury du dimanche à laquelle elle a été l’invité.
« À mon avis, il faut rouvrir cette usine. Ce serait bien qu’on puisse rouvrir cette usine et commencer la production. Parce que, si cette piste se confirme, on pourra aider non seulement le Sénégal et l’Afrique, mais l’humanité. La réouverture de l’usine doit être une nécessité », a indiqué Coumba Kane Touré.
Interpellée sur la concurrence qui existerait entre l’IRESSEF et l’Institut Pasteur, Mme Touré soutient qu’« il n’y a pas de concurrence entre les deux instituts ». Avant de préciser qu’elles n’ont pas de collaboration réelle dans le cadre de la lutte contre la Covid-19. Car dit-elle, « l’idéal serait qu’on collabore, mais cela n’a pas eu lieu ».
La seule usine de fabrication de médicaments, Médis Sénégal, a mis la clé sous le paillasson à cause des difficultés financières estimées à près de 5 milliards de francs CFA. Jusqu’en 2002, l’usine fabriquait une quantité importante de chloroquine.
« À mon avis, il faut rouvrir cette usine. Ce serait bien qu’on puisse rouvrir cette usine et commencer la production. Parce que, si cette piste se confirme, on pourra aider non seulement le Sénégal et l’Afrique, mais l’humanité. La réouverture de l’usine doit être une nécessité », a indiqué Coumba Kane Touré.
Interpellée sur la concurrence qui existerait entre l’IRESSEF et l’Institut Pasteur, Mme Touré soutient qu’« il n’y a pas de concurrence entre les deux instituts ». Avant de préciser qu’elles n’ont pas de collaboration réelle dans le cadre de la lutte contre la Covid-19. Car dit-elle, « l’idéal serait qu’on collabore, mais cela n’a pas eu lieu ».
La seule usine de fabrication de médicaments, Médis Sénégal, a mis la clé sous le paillasson à cause des difficultés financières estimées à près de 5 milliards de francs CFA. Jusqu’en 2002, l’usine fabriquait une quantité importante de chloroquine.
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