Khalifa Sall risque de ne pas bénéficier, comme il le souhaite, de l'annulation de la procédure qui l’a placé sous mandat de dépôt, ainsi que d’une liberté provisoire. En effet, l’édile de Dakar qui a énuméré dans une lettre adressée à ladite chambre, des contestations, lesquelles, de l’avis de ses avocats, devraient suffire pour lui garantir, ne serait-ce que d’une mise en liberté provisoire, en attendant l’annulation pure et simple de la procédure.
Mais, le magistrat en charge de ce dossier le voit autrement du fait que, estime une source de l'Observateur, le contenu ne milite en faveur de M. Sall pour la concrétisation de ses vœux.
«Le statut des inspecteurs généraux et les actes pris par le procureur de la République, à la lumière de l’enquête de la DIC ne violent nulle part la Constitution », a-t-elle déclaré, démontant les points démontant la ligne de défense de l'édile de la capitale sénégalaise.
Sur les causes du refus de la mise en liberté provisoire que les conseils du maire de Dakar avaient introduite, la même source informe que le Parquet s’est basé sur l’article 140 du Code de procédure pénale qui stipule que pour les faits qui lui sont reprochés, entre autres pour les faits de détournement de deniers publics, une telle demande ne peut être accordée que si le prévenu verse une caution ou rembourse la somme indiquée.
Ce qui conduit la même source à soutenir que «Khalifa Sall et Cie n’ont pas fait de sérieuses contestations. Ils se sont tout simplement limités à fournir des arguments politiques».
Khalifa Sall avait été placé sous mandat de dépôt le 7 mars dernier pour les faits de blanchiment d’argent, détournement de deniers publiques, association de malfaiteurs », entre autres.
Mais, le magistrat en charge de ce dossier le voit autrement du fait que, estime une source de l'Observateur, le contenu ne milite en faveur de M. Sall pour la concrétisation de ses vœux.
«Le statut des inspecteurs généraux et les actes pris par le procureur de la République, à la lumière de l’enquête de la DIC ne violent nulle part la Constitution », a-t-elle déclaré, démontant les points démontant la ligne de défense de l'édile de la capitale sénégalaise.
Sur les causes du refus de la mise en liberté provisoire que les conseils du maire de Dakar avaient introduite, la même source informe que le Parquet s’est basé sur l’article 140 du Code de procédure pénale qui stipule que pour les faits qui lui sont reprochés, entre autres pour les faits de détournement de deniers publics, une telle demande ne peut être accordée que si le prévenu verse une caution ou rembourse la somme indiquée.
Ce qui conduit la même source à soutenir que «Khalifa Sall et Cie n’ont pas fait de sérieuses contestations. Ils se sont tout simplement limités à fournir des arguments politiques».
Khalifa Sall avait été placé sous mandat de dépôt le 7 mars dernier pour les faits de blanchiment d’argent, détournement de deniers publiques, association de malfaiteurs », entre autres.
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