Fatou Blondin Ndaye et ses camarades du Mouvement pour la défense de la démocratie (M2D) ont animé ce mardi une conférence de presse pour s'exprimer sur la tenue du rassemblement prévu mercredi en guise de commémoration du 23 juin 2011. Elle s'est désolée du fait que 10 ans après, le peuple sénégalais doit se battre contre le président « Macky Sall qui confisque le processus électoral».
Des hommes politiques ont « trahi le peuple sénégalais et anéanti son espoir de voir le pays doté d'une gouvernance démocratique digne de ce nom. Nous voici donc 10 ans, devons encore nous battre contre une justice à deux visites, pour des institutions indépendantes et fonctionnelles, contre un président qui confisque le processus électoral, assujetti l'Assemblée nationale et légalise la violence étatique », a dit Fatou Blondin Ndaye.
Selon elle, nouvelle donne que Macky Sall sponsorise ne peut pas prospérer. Il s'agit de ces préfets et maires qui sèment la terreur chez les opposants et les membres de la société civile. Elle estime que ces derniers ne font qu'exprimer leurs opinions en portant des brassards rouges, ou tenant des pancartes ou conférence de presse.
Elle a appelé le peuple à un rassemblement mercredi au terrain des HLM Grand Yoff, pour dire «Non à une République des nervis, à la violence, à la spoliation foncière et aux violations des droits des travailleurs». Mais aussi pour réaffirmer l'esprit républicain et le sentiment d'appartenance national et pour que soit respecté les libertés des citoyens.
Revenant sur les différents rassemblements prévus de part et d'autre pour commémorer le 23 juin, Fatou Blondin Ndaye a fait savoir que le 23 juin n'est pas là propriété du M2D, ni de Yen a marre. « C'est un esprit. Un esprit de remise. A chaque fois que l'État dépasse les limites et remet en question les fondamentaux de la nation, que les citoyens sortent. C'est un débat stérile. Nous avons beaucoup de choses que nous allons mettre en valeur le jour du rassemblement ».
Des hommes politiques ont « trahi le peuple sénégalais et anéanti son espoir de voir le pays doté d'une gouvernance démocratique digne de ce nom. Nous voici donc 10 ans, devons encore nous battre contre une justice à deux visites, pour des institutions indépendantes et fonctionnelles, contre un président qui confisque le processus électoral, assujetti l'Assemblée nationale et légalise la violence étatique », a dit Fatou Blondin Ndaye.
Selon elle, nouvelle donne que Macky Sall sponsorise ne peut pas prospérer. Il s'agit de ces préfets et maires qui sèment la terreur chez les opposants et les membres de la société civile. Elle estime que ces derniers ne font qu'exprimer leurs opinions en portant des brassards rouges, ou tenant des pancartes ou conférence de presse.
Elle a appelé le peuple à un rassemblement mercredi au terrain des HLM Grand Yoff, pour dire «Non à une République des nervis, à la violence, à la spoliation foncière et aux violations des droits des travailleurs». Mais aussi pour réaffirmer l'esprit républicain et le sentiment d'appartenance national et pour que soit respecté les libertés des citoyens.
Revenant sur les différents rassemblements prévus de part et d'autre pour commémorer le 23 juin, Fatou Blondin Ndaye a fait savoir que le 23 juin n'est pas là propriété du M2D, ni de Yen a marre. « C'est un esprit. Un esprit de remise. A chaque fois que l'État dépasse les limites et remet en question les fondamentaux de la nation, que les citoyens sortent. C'est un débat stérile. Nous avons beaucoup de choses que nous allons mettre en valeur le jour du rassemblement ».
Autres articles
-
Conseil constitutionnel et parrainage : Abdoulaye Ndiogou fait des révélations et indexe l’informaticien
-
Passation de pouvoir avec Bassirou Diomaye Faye : Macky Sall mobilise ses services
-
"Il faut aider le Président Diomaye Faye à faire l'état des lieux des finances publiques", (Birahim Seck, Forum civil)
-
GIGN garde de Sonko: "il n'est ni bénéficiaire ni demandeur", selon El Malick Ndiaye
-
Permis de pêche, monnaie locale : ces projets du Président Bassirou Diomaye Faye vus par un économiste