«La semaine de la mangue» a été lancée ce matin. Cet évènement qui entre dans le cadre du désir du Sénégal de valoriser la mangue sénégalaise doit, selon le ministre du Commerce, contribuer à la mise sur pied d’un cadre de concertation des pays-membres de la Cedeao. Il y a un peu moins d’un an, en juillet 2015, le Sénégal et les Etats-Unis ont signé un Protocole d’accord pour le lancement de l’Initiative Trade Africa », a déclaré Alioune Sarr.
Et de poursuivre : «Le principal objectif de Trade Africa est de dynamiser cet énorme potentiel, en s’appuyant sur la mise en œuvre par l’USAID et d’autres agences gouvernementales américaines. Cela nous permet de contribuer à réunir le Sénégal et ses partenaires régionaux pour la « semaine de la mangue », autour d’une approche unifiée de la culture et de la commercialisation de la mangue en Afrique de l’Ouest».
Présent à la rencontre, le représentant du secteur privé abonde dans le même sens. En effet, Cheikh Ngane a relevé que cette initiative est la bienvenue d’autant plus que : «La mangue est produite dans la plupart des Etats de l’Afrique de l’Ouest, une zone de 540 000 km², qui s’étend du Sénégal et de la Gambie dans l’ouest jusqu’au Nigéria à l’Est. La production annuelle représente environ 1,3 million de tonnes, soit près de 4% de la production mondiale, avec des pertes post-récoltes pouvant atteindre entre 40% et 50%. Environ 40 000 tonnes de mangues fraîches sont exportées (5,4%), et environ 50 000 tonnes sont traitées (6,8%).
Pour sa part, la représentante de l’ambassadeur des Etats-Unis, Sandra Clark, s’est félicitée des initiatives prises par les pays membres de la Cedeao : «le Sénégal et les pays membres de la Cedeao ont adopté une habile stratégie de création d’un marché régional intégré, destinée à stimuler l'intérêt des investisseurs internationaux pour la région. Le Sénégal et ses voisins tentent de dépasser les barrières au commerce régional en concluant de nouveaux protocoles de libre-échange, tels que le Programme de libéralisation du commerce de la Cedeao», a-t-elle souligné.
La semaine de la mangue prendra fin le 3 juin prochain.
Et de poursuivre : «Le principal objectif de Trade Africa est de dynamiser cet énorme potentiel, en s’appuyant sur la mise en œuvre par l’USAID et d’autres agences gouvernementales américaines. Cela nous permet de contribuer à réunir le Sénégal et ses partenaires régionaux pour la « semaine de la mangue », autour d’une approche unifiée de la culture et de la commercialisation de la mangue en Afrique de l’Ouest».
Présent à la rencontre, le représentant du secteur privé abonde dans le même sens. En effet, Cheikh Ngane a relevé que cette initiative est la bienvenue d’autant plus que : «La mangue est produite dans la plupart des Etats de l’Afrique de l’Ouest, une zone de 540 000 km², qui s’étend du Sénégal et de la Gambie dans l’ouest jusqu’au Nigéria à l’Est. La production annuelle représente environ 1,3 million de tonnes, soit près de 4% de la production mondiale, avec des pertes post-récoltes pouvant atteindre entre 40% et 50%. Environ 40 000 tonnes de mangues fraîches sont exportées (5,4%), et environ 50 000 tonnes sont traitées (6,8%).
Pour sa part, la représentante de l’ambassadeur des Etats-Unis, Sandra Clark, s’est félicitée des initiatives prises par les pays membres de la Cedeao : «le Sénégal et les pays membres de la Cedeao ont adopté une habile stratégie de création d’un marché régional intégré, destinée à stimuler l'intérêt des investisseurs internationaux pour la région. Le Sénégal et ses voisins tentent de dépasser les barrières au commerce régional en concluant de nouveaux protocoles de libre-échange, tels que le Programme de libéralisation du commerce de la Cedeao», a-t-elle souligné.
La semaine de la mangue prendra fin le 3 juin prochain.
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