«Mon ambition est que dans quelques années le Sénégal puisse se passer de l’aide publique pour qu’on puisse dire aux partenaires techniques et financier qui nous soutiennent depuis les indépendances, merci et que maintenant nous pouvons financer, nous-même, nos propres projets», a-t-il déclaré.
Et cette sortie est motivée par les difficultés et autres aléas liés à l’obtention d’une aide : «Ce n’est pas intéressant d’aller à chaque fois, pour financer des projets, de demander à gauche et à droite de l’aide. Recevoir par-ci 1 milliard, par-là autre chose», déplore-t-il.
D’ailleurs, soutient-il, cet affranchissement sera bénéfique aux Sénégalais car : «cela va nous pousser à travailler plus et davantage afin que notre pays, dans un horizon proche, d’ici 5 ans, puisse assurer son financement».
Et cette sortie est motivée par les difficultés et autres aléas liés à l’obtention d’une aide : «Ce n’est pas intéressant d’aller à chaque fois, pour financer des projets, de demander à gauche et à droite de l’aide. Recevoir par-ci 1 milliard, par-là autre chose», déplore-t-il.
D’ailleurs, soutient-il, cet affranchissement sera bénéfique aux Sénégalais car : «cela va nous pousser à travailler plus et davantage afin que notre pays, dans un horizon proche, d’ici 5 ans, puisse assurer son financement».
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