«Mon ambition est que dans quelques années le Sénégal puisse se passer de l’aide publique pour qu’on puisse dire aux partenaires techniques et financier qui nous soutiennent depuis les indépendances, merci et que maintenant nous pouvons financer, nous-même, nos propres projets», a-t-il déclaré.
Et cette sortie est motivée par les difficultés et autres aléas liés à l’obtention d’une aide : «Ce n’est pas intéressant d’aller à chaque fois, pour financer des projets, de demander à gauche et à droite de l’aide. Recevoir par-ci 1 milliard, par-là autre chose», déplore-t-il.
D’ailleurs, soutient-il, cet affranchissement sera bénéfique aux Sénégalais car : «cela va nous pousser à travailler plus et davantage afin que notre pays, dans un horizon proche, d’ici 5 ans, puisse assurer son financement».
Et cette sortie est motivée par les difficultés et autres aléas liés à l’obtention d’une aide : «Ce n’est pas intéressant d’aller à chaque fois, pour financer des projets, de demander à gauche et à droite de l’aide. Recevoir par-ci 1 milliard, par-là autre chose», déplore-t-il.
D’ailleurs, soutient-il, cet affranchissement sera bénéfique aux Sénégalais car : «cela va nous pousser à travailler plus et davantage afin que notre pays, dans un horizon proche, d’ici 5 ans, puisse assurer son financement».
Autres articles
-
Monnaie unique ECO : la Cédéao alerte sur le retard des critères de convergence
-
Sénégal : hausse de 2,9% des prix à la consommation en rythme annuel, en novembre 2025, selon l'Ansd
-
Dette du Sénégal : L’alerte rouge de la Bank of America face au refus d’Ousmane Sonko
-
Crise financière : «La dette cachée est une polémique qui n’a pas sa raison d’être» (Abdourahmane Sarr)
-
Guichets uniques et cybersécurité : les nouvelles priorités du commerce interafricain





Monnaie unique ECO : la Cédéao alerte sur le retard des critères de convergence


