Face à la presse, ce samedi, le Président Bassirou Diomaye Faye a mis l'accent sur plusieurs questions cruciales pour l'administration et la gouvernance notamment la fiscalité, les audits des corps de contrôle et la gestion des fonds politiques.
En ce qui concerne la fiscalité, le Président Faye a souligné « l'importance cruciale des impôts pour le fonctionnement de l'État et la préservation des biens communs des Sénégalais ».
Il a dénoncé fermement les « remises gracieuses » et a averti que « tout refus de paiement d'impôts ou toute retenue à la source non reversée serait considéré comme un détournement de deniers publics, passible de mandat de dépôt si les faits sont avérés ».
Bassirou Diomaye a également insisté sur la « nécessité d'une sensibilisation et d'une éducation citoyenne en matière fiscale ».
Évoquant les audits, le chef de l'État a critiqué la pratique de ses prédécesseurs qui selon lui, « avaient gardé certains rapports sous le coude ». Il a assuré que « son administration rendra publics tous les rapports d'audit et qu'ils seront traités avec rigueur ».
« Si un rapport justifie l'ouverture d'une enquête judiciaire, la justice agira en toute indépendance et sans pression », a-t-il averti.
Sur la question des fonds politiques, le Président Faye a révélé n'avoir trouvé aucun fonds destiné à la présidence lors de son arrivée au pouvoir.
« Pour ce qui est des fonds politiques, je n’ai rien trouvé. Les fonds qui étaient destinés au président de la République ont été vidés. Je n’ai rien trouvé », a confié Bassirou Diomaye.
Confirmant sa promesse électorale de supprimer les fonds politiques, il a toutefois envisagé de les remplacer par des « fonds secrets gérés par un comité restreint », laissant entendre une « gestion plus transparente et contrôlée de ces ressources ».
En ce qui concerne la fiscalité, le Président Faye a souligné « l'importance cruciale des impôts pour le fonctionnement de l'État et la préservation des biens communs des Sénégalais ».
Il a dénoncé fermement les « remises gracieuses » et a averti que « tout refus de paiement d'impôts ou toute retenue à la source non reversée serait considéré comme un détournement de deniers publics, passible de mandat de dépôt si les faits sont avérés ».
Bassirou Diomaye a également insisté sur la « nécessité d'une sensibilisation et d'une éducation citoyenne en matière fiscale ».
Évoquant les audits, le chef de l'État a critiqué la pratique de ses prédécesseurs qui selon lui, « avaient gardé certains rapports sous le coude ». Il a assuré que « son administration rendra publics tous les rapports d'audit et qu'ils seront traités avec rigueur ».
« Si un rapport justifie l'ouverture d'une enquête judiciaire, la justice agira en toute indépendance et sans pression », a-t-il averti.
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