L’ancien président français Nicolas Sarkozy, qui avait soutenu qu’il en a fini avec la vie politique, n’écarte pas l’hypothèse d’un retour en cas de grave crise nationale, révèle le journal français le Parisien.
Plusieurs semaines, avant la révolte des Gilets jaunes, l’ancien président a confié à l’un des nombreux élus qui défilent dans son bureau : « Carla me dit : Nicolas, j’espère que tu vas rester sage. Mais vous avez vu la situation ? Je ne vais pas avoir le choix, je vais peut-être être obligé de revenir… »
« Je savais dès le début que le pouvoir était une parenthèse dont on n’est pas propriétaire, déclarait-il. […] J’ai commis des erreurs, il y a des choses que je referais différemment, mais je n’ai aucune amertume, aucun regret », a dit l’ancien chef de l’Etat.
Plusieurs semaines, avant la révolte des Gilets jaunes, l’ancien président a confié à l’un des nombreux élus qui défilent dans son bureau : « Carla me dit : Nicolas, j’espère que tu vas rester sage. Mais vous avez vu la situation ? Je ne vais pas avoir le choix, je vais peut-être être obligé de revenir… »
« Je savais dès le début que le pouvoir était une parenthèse dont on n’est pas propriétaire, déclarait-il. […] J’ai commis des erreurs, il y a des choses que je referais différemment, mais je n’ai aucune amertume, aucun regret », a dit l’ancien chef de l’Etat.
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