L'unité au sein du Syndicat des travailleurs de la justice (Sytjust) se fissure. De l'avis de Me Abdoulaye Mboup, les dirigeants dudit syndicats tardent à organiser un congrès alors que les textes régissant leur mouvement syndical le stipulent clairement.
«Il se passe des choses aux antipodes de la démocratie syndicale et au-delà de la légalité qui doit être la ligne directrice de tout acteur de la justice» martèle-t-il sur la Rfm.
Sur sa lancée, le coordinateur du comité pour l’organisation du congrès de ce syndicat ajoute : «Le mandat du Bureau exécutif national est arrivé à expiration depuis le 30 mars 2017. Malgré cela, le secrétaire général refuse d’organiser un congrès et continue à agir en toute illégalité, au nom et pour le compte des travailleurs de la justice. Il prend des décisions taillées sur mesure, en accord avec les autorités, contre la volonté des mandants que nous sommes».
Pour rectifier le tir, les frondeurs veulent tenir un congrès le 6 avril prochain pour le renouvellement du bureau. Mais, leur posture n'incomode pas pour autant Me Ayé Boun Malick Diop. Ce dernier, interpellé sur la question, affirme que ses adversaires sont dans le désarroi. Et il s'en veut pour preuve le statut de stagiaire d'un des signataires de la missive.
«Il se passe des choses aux antipodes de la démocratie syndicale et au-delà de la légalité qui doit être la ligne directrice de tout acteur de la justice» martèle-t-il sur la Rfm.
Sur sa lancée, le coordinateur du comité pour l’organisation du congrès de ce syndicat ajoute : «Le mandat du Bureau exécutif national est arrivé à expiration depuis le 30 mars 2017. Malgré cela, le secrétaire général refuse d’organiser un congrès et continue à agir en toute illégalité, au nom et pour le compte des travailleurs de la justice. Il prend des décisions taillées sur mesure, en accord avec les autorités, contre la volonté des mandants que nous sommes».
Pour rectifier le tir, les frondeurs veulent tenir un congrès le 6 avril prochain pour le renouvellement du bureau. Mais, leur posture n'incomode pas pour autant Me Ayé Boun Malick Diop. Ce dernier, interpellé sur la question, affirme que ses adversaires sont dans le désarroi. Et il s'en veut pour preuve le statut de stagiaire d'un des signataires de la missive.
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