Dénonçant un «niveau d’ingérence étrangère exceptionnel et sans précédent dans le processus électoral» en Gambie le président Yaya Jammeh a décrété l’état d’urgence. L’état d’urgence porté à quatre-vingt-dix (90) jours avec l’approbation de l’Assemblée nationale, il est «interdit de se livrer à des actes de désobéissance aux lois gambiennes, à l’incitation à la violence ou troublant la paix et l’ordre public».
Au lendemain de cette décision du président Jammeh, l’Armée gambienne place ses véhicules à des points stratégiques à quelques heures de l’investiture du président élu à l’issue du scrutin du 1er décembre dernier.
Affaire à suivre.
Au lendemain de cette décision du président Jammeh, l’Armée gambienne place ses véhicules à des points stratégiques à quelques heures de l’investiture du président élu à l’issue du scrutin du 1er décembre dernier.
Affaire à suivre.
Autres articles
-
BRT et DDD : Le président Diomaye veut une évaluation rapide du système de gestion
-
Recrudescence des accidents de la route : Diomaye Faye veut « un plan d’urgence de prévention et de sécurité routières »
-
Secteur foncier : le rapport final décèle un non-respect des règles de l’urbanisme
-
Etat foncier du Sénégal : le Consortium RES dénote une « faible protection du domaine public »
-
Enquête APROSI - Diamniadio : Zone spéciale à scandales - les ramifications d'une mafia