C’est la première fois que l’espace politique est si ouvert en Gambie. Adama Barrow, élu - contre toute attente - en décembre 2016, avait pris le pouvoir, après une crise politique d’un mois et demi et une intervention militaire de la Cédéao.
Après la promesse de mener une transition de trois ans, il est finalement resté au pouvoir. C’est ce qui a provoqué la rupture avec Ousainou Darboe, opposant « historique » de l’ère Jammeh, leader du Parti démocratique unifié (UDP), également dans la course pour cette présidentielle
En lice aussi, Mammah Kandeh du Congrès démocratique de la Gambie, Halifa Sallah, de l’Organisation démocratique du peuple pour l’indépendance et le socialisme, Abdoulie Ebrima Jammeh, du parti de l’Unité nationale et enfin Essa Mbaye Faal, candidat indépendant.
L’ombre de l’ancien président plane sur ce scrutin. Depuis son exil en Guinée équatoriale, Yahya Jammeh a pris position en faveur du candidat Mammah Kandeh, alors que le parti de l’ex-homme fort avait, auparavant, formé une alliance avec le National People’s Party (NPP) d’Adama Barrow.
Les victimes des violations des droits de l’homme commises sous l’ancien régime attendent toujours le rapport de la Commission vérité et réconciliation. Fin septembre, sa publication avait une nouvelle fois été reportée sine die.
Après la promesse de mener une transition de trois ans, il est finalement resté au pouvoir. C’est ce qui a provoqué la rupture avec Ousainou Darboe, opposant « historique » de l’ère Jammeh, leader du Parti démocratique unifié (UDP), également dans la course pour cette présidentielle
En lice aussi, Mammah Kandeh du Congrès démocratique de la Gambie, Halifa Sallah, de l’Organisation démocratique du peuple pour l’indépendance et le socialisme, Abdoulie Ebrima Jammeh, du parti de l’Unité nationale et enfin Essa Mbaye Faal, candidat indépendant.
L’ombre de l’ancien président plane sur ce scrutin. Depuis son exil en Guinée équatoriale, Yahya Jammeh a pris position en faveur du candidat Mammah Kandeh, alors que le parti de l’ex-homme fort avait, auparavant, formé une alliance avec le National People’s Party (NPP) d’Adama Barrow.
Les victimes des violations des droits de l’homme commises sous l’ancien régime attendent toujours le rapport de la Commission vérité et réconciliation. Fin septembre, sa publication avait une nouvelle fois été reportée sine die.
Autres articles
-
Affaire Epstein: la justice annonce la découverte de «plus d'un million de documents» supplémentaires
-
Côte d'Ivoire: fin de campagne pour les législatives au rythme de la Coupe d'Afrique des nations
-
Pour Noël, l'archevêque catholique de Douala invite à «créer vraiment un monde de paix»
-
Dans l'est de la RDC, un premier Noël sous l'occupation de l'AFC/M23
-
Mali: comment les chrétiens fêtent Noël dans les zones contrôlées par les jihadistes du Jnim




Affaire Epstein: la justice annonce la découverte de «plus d'un million de documents» supplémentaires


