Désormais, la menace est un fait avéré, car Gorée a tremblé dernièrement sous l'assaut des vagues. Le mur de la mosquée et de la maison d'éducation Mariama Ba en on fait les frais. L'unique câble qui alimente la commune en électricité n'a pas échappé à la furie destructrice de la nature.
Selon Bienvenu Sambou, directeur de l'Institut des Sciences de l'Environnement (Ise) ce qui s'est passé à Gorée n'est pas étonnant. « On sait que la mer se déferle de plus en plus sur les communautés qui occupent le littoral. Ce qui s'est passé est un défi qui nous interpelle, pour dire qu'il nous faut élever la voix pour trouver une solution urgente et durable face à ce défi. Mais nous sommes également responsables de cette situation », renseigne M. Sambou (Vidéo).
Apres l'exemple de Rufisque, Gorée et Bargny, on a plus besoin de preuves pour démontrer les menaces qui pèsent sur le littoral. De l'avis de Diomaye Dieng, président de l'Association des Diplômés de l'Institut des Sciences de l'Environnement (Adise), « les populations habitent très souvent les zones sensibles. Donc, il faut trouver des infrastructures préventives, car à tout moment, elles peuvent subir les dégâts de la dégradation de l'environnement ».
Lors des premières études de vulnérabilité réalisée à l'échelle mondiale, le Sénégal à été classé au 45 éme rang sur les 181 pays vulnérable à une accélération de l'élévation du niveau de la mer de 6 mètres.
Selon Bienvenu Sambou, directeur de l'Institut des Sciences de l'Environnement (Ise) ce qui s'est passé à Gorée n'est pas étonnant. « On sait que la mer se déferle de plus en plus sur les communautés qui occupent le littoral. Ce qui s'est passé est un défi qui nous interpelle, pour dire qu'il nous faut élever la voix pour trouver une solution urgente et durable face à ce défi. Mais nous sommes également responsables de cette situation », renseigne M. Sambou (Vidéo).
Apres l'exemple de Rufisque, Gorée et Bargny, on a plus besoin de preuves pour démontrer les menaces qui pèsent sur le littoral. De l'avis de Diomaye Dieng, président de l'Association des Diplômés de l'Institut des Sciences de l'Environnement (Adise), « les populations habitent très souvent les zones sensibles. Donc, il faut trouver des infrastructures préventives, car à tout moment, elles peuvent subir les dégâts de la dégradation de l'environnement ».
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