392 décès pour 100 000 naissances vivantes sont enregistrés au Sénégal. C’est ce qu’a révélé l’Enquête démographique santé (EDS) qui informe que 2000 décès sont liés à la grossesse chaque année.
Du côté des enfants, le nombre de décès, qui était de 92 nourrissons pour 1000 naissances vivantes en 1980, avait diminué de 36 décès pour 1000 naissances vivantes en 2016. Néanmoins le taux de décès des enfants de moins de 5 ans reste élevé avec près de 27 000 enfants qui meurent chaque année. Avant d’atteindre leur 5e anniversaire, soit 3 enfants de moins de 5 ans meurent chaque heure.
Selon toujours cette enquête EDS 2016, il y a 89 décès pour 1000 naissances si un bébé est né 24 mois après la naissance précédente et seulement 48 décès pour 1000 naissances si l’intervalle entre les naissances est de 3 ans. Le risque est donc deux fois plus élevé pour les enfants nés à moins de deux ans d’intervalle, comparé à ceux dont l’intervalle est de 3 ans, a relevé l’enquête.
Face à cette situation alarmante, le Cadre des religieux pour la santé et le développement s’est doté d’un nouvel outil de plaidoyer qu’est un film consacré à l’espacement des naissances, dénommé : «Le Sénégal s’engage : la religion et la santé familiale».
Interpellé sur la résistance de certains guides religieux sur la question, le président dudit Cadre, Cheikh Saliou Mbacké de préciser : «Si nous n’avions pas des arguments valables de la religion et l’aval de nos califes, nous ne serions pas engagés dans ce plaidoyer. Nous avons une argumentation très solide, aussi bien de l’islam que du Christianisme, assez explicite ».
Du côté des enfants, le nombre de décès, qui était de 92 nourrissons pour 1000 naissances vivantes en 1980, avait diminué de 36 décès pour 1000 naissances vivantes en 2016. Néanmoins le taux de décès des enfants de moins de 5 ans reste élevé avec près de 27 000 enfants qui meurent chaque année. Avant d’atteindre leur 5e anniversaire, soit 3 enfants de moins de 5 ans meurent chaque heure.
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