William Fernadez, avocat général près la Cour d’appel de Conakry guineeweb.org
Poursuivies pour, entre autres, atteinte à la sûreté de l’Etat, assassinat, association de malfaiteurs, ces personnes étaient détenues depuis le 19 juillet 2011 pour certains, les jours qui ont suivi pour d’autres.
Dix-sept d’entre elles, dont quinze étaient encore en détention, ont bénéficié d’un non-lieu vendredi. William Fernandez, avocat général près la Cour d’appel de Conakry, confirme cette nouvelle : « Je confirme qu’à la suite de l’instruction judiciaire, il a été décidé un non-lieu en faveur d’un certain nombre de personnes. Il y a des militaires, tout comme des civils ».
Des militaires et des civils, dont le général Bachir Diallo les colonels Abdoulaye Chérif Diaby, David Sylla David Haba et l’homme d’affaires el- hadj Mamadou Alpha Diallo, sont désormais libres.
Le collectif des avocats de la défense se félicite du dénouement heureux de cette affaire. Mais il estime que le combat continue pour libérer des dizaines d’autres encore sous les verrous, poursuivis dans le cadre de cette même affaire. « Nous, on continue à nous battre, parce que dans le dossier il y a encore des innocents qui sont en train de croupir en prison », déclare Maître Salifou Béavogui.
A leur sortie de prison, certains ex-détenus ont fondu en larmes, cachant mal un sentiment d’amertume pour avoir passé plus de sept mois en prison pour rien.
Source: RFI
Dix-sept d’entre elles, dont quinze étaient encore en détention, ont bénéficié d’un non-lieu vendredi. William Fernandez, avocat général près la Cour d’appel de Conakry, confirme cette nouvelle : « Je confirme qu’à la suite de l’instruction judiciaire, il a été décidé un non-lieu en faveur d’un certain nombre de personnes. Il y a des militaires, tout comme des civils ».
Des militaires et des civils, dont le général Bachir Diallo les colonels Abdoulaye Chérif Diaby, David Sylla David Haba et l’homme d’affaires el- hadj Mamadou Alpha Diallo, sont désormais libres.
Le collectif des avocats de la défense se félicite du dénouement heureux de cette affaire. Mais il estime que le combat continue pour libérer des dizaines d’autres encore sous les verrous, poursuivis dans le cadre de cette même affaire. « Nous, on continue à nous battre, parce que dans le dossier il y a encore des innocents qui sont en train de croupir en prison », déclare Maître Salifou Béavogui.
A leur sortie de prison, certains ex-détenus ont fondu en larmes, cachant mal un sentiment d’amertume pour avoir passé plus de sept mois en prison pour rien.
Source: RFI
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