Il est rare qu'on entende Edouard Balladur s'exprimer. Le Parisien en kiosque ce dimanche 17 septembre lui donne la parole. Cette interview apparaît dans le cadre de la promotion du livre de l'homme politique, co-écrit avec Alain Duhamel : "Grandeur, déclin et destin de la Ve République" (Editions de l'Observatoire). Cette tribune est l'occasion pour l'ancien Premier ministre de s'exprimer au sujet d'Emmanuel Macron. S'il ne le connaît pas, il a l'impression que le président le la République "aime se contempler." Alors, le chef de l'Etat aurait-il les chevilles un peu trop enflées ?
L'ex conseiller d'Etat tacle également les anciens gouvernements, qui ont leur part de responsabilité dans la situation de crise de la France selon lui : "Je voudrais que ce livre soit utile et que l'on combatte les idées reçues. Si la France est en crise, ce n'est pas la faute de nos institutions mais celle de nos gouvernements successifs. Il faut une autorité à la tête de l'Etat. C'est l'essence même de la Ve République." Puis, Edouard Balladur déclare qu'il aimerait retirer les primaires, avant de reconnaître que "cela aurait été à coup sûr un inconvénient. Il ne faut pas que les conditions de parrainage empêchent le renouvellement et sclérosent la vie politique. Soyons clair : un système qui aurait empêché M. Macron, M. Mélenchon ou Mme Le Pen de se présenter".
L'ex conseiller d'Etat tacle également les anciens gouvernements, qui ont leur part de responsabilité dans la situation de crise de la France selon lui : "Je voudrais que ce livre soit utile et que l'on combatte les idées reçues. Si la France est en crise, ce n'est pas la faute de nos institutions mais celle de nos gouvernements successifs. Il faut une autorité à la tête de l'Etat. C'est l'essence même de la Ve République." Puis, Edouard Balladur déclare qu'il aimerait retirer les primaires, avant de reconnaître que "cela aurait été à coup sûr un inconvénient. Il ne faut pas que les conditions de parrainage empêchent le renouvellement et sclérosent la vie politique. Soyons clair : un système qui aurait empêché M. Macron, M. Mélenchon ou Mme Le Pen de se présenter".
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