L’image de la justice sénégalaise n’est pas du tout reluisante. C’est ce qui ressort de la journée de réflexion sur l’indépendance de la justice organisée ce mercredi 7 novembre par la Ligue sénégalaise des droits humains (Lsdh). Selon son président, la justice sénégalaise doit faire l’objet d’une thérapie.
«La réflexion ne nait que là où il y a problème et je pense que de façon unanime, tous les acteurs reconnaissent aujourd’hui qu’il faut d’abord faire un diagnostic et après, il nous faut nécessairement pas faire une thérapie», a déclaré l’avocat.
Selon lui, tous les ingrédients sont réunis pour procéder à des réformes au sein du pouvoir judiciaire puisque l’Etat a «exprimé sa bonne intention» et l’Union des magistrats du Sénégal (Ums) a «formulé ses revendications.» Donc, affirme Me Ndiaye, il ne reste qu’ «une étincelle pour que les choses bougent.»
«La réflexion ne nait que là où il y a problème et je pense que de façon unanime, tous les acteurs reconnaissent aujourd’hui qu’il faut d’abord faire un diagnostic et après, il nous faut nécessairement pas faire une thérapie», a déclaré l’avocat.
Selon lui, tous les ingrédients sont réunis pour procéder à des réformes au sein du pouvoir judiciaire puisque l’Etat a «exprimé sa bonne intention» et l’Union des magistrats du Sénégal (Ums) a «formulé ses revendications.» Donc, affirme Me Ndiaye, il ne reste qu’ «une étincelle pour que les choses bougent.»
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