La Division spéciale de lutte contre la cybercriminalité, dans le cadre de la surveillance du cyberespace et des investigations numériques menées, a mis en évidence l'existence d'un site pornographique et de groupes de diffusion en ligne utilisés pour la publication de contenus à caractère pornographique et la promotion d’activités de prostitution via internet.
Selon les informations de la Police nationale, les investigations ont permis d’établir que ce dispositif reposait sur un site internet spécialisé (https://www.nd...e.com), servant à la diffusion des vidéos explicites, ainsi que sur des groupes privés hébergés sur l’application Telegram, utilisés comme canaux de relais, de publicité et de mise en relation avec des clients. L’ensemble fonctionnait selon une organisation structurée, administrée par un individu opérant sous pseudonyme et résidant à l’étranger.
La même source renseigne que l’exploitation des supports numériques a permis de découvrir un volume particulièrement important de contenus illicites, estimé à deux mille cent quarante-huit (2148) vidéos et images à caractère pornographique, mettant en scène des personnes identifiées et diffusées à grande échelle sur les plateformes concernées.
Les éléments recueillis ont permis d’identifier trois (3) personnes impliquées, lesquelles ont été interpellées et entendues dans le cadre de la procédure. Selon la Police, les investigations ont mis en évidence un mode opératoire consistant en la production volontaire de vidéos personnelles à caractère pornographique, transmises à l’administrateur des plateformes afin d’en assurer la diffusion et la promotion de prestations sexuelles tarifées.
Les rendez-vous avec la clientèle étaient organisés par l’intermédiaire de ces canaux numériques, l’administrateur assurant la mise en relation et retenant, à titre de rémunération, le montant correspondant à la prestation d’un client sur quatre (soit 25). Les personnes concernées ont indiqué que les tarifs pratiqués pouvaient atteindre vingt mille (20000) francs CFA pour une heure et cent mille (100000) francs CFA pour une nuitée, les transactions s’effectuant principalement via des services de paiement mobile.
À l’issue des investigations préliminaires, les trois (3) personnes mises en cause ont été déférées devant le Tribunal de Grande Instance Hors Classe de Dakar.
La procédure judiciaire suit son cours sous l’autorité des juridictions compétentes, tandis que les investigations se poursuivent afin d’identifier l’ensemble des acteurs impliqués dans ce réseau.
Selon les informations de la Police nationale, les investigations ont permis d’établir que ce dispositif reposait sur un site internet spécialisé (https://www.nd...e.com), servant à la diffusion des vidéos explicites, ainsi que sur des groupes privés hébergés sur l’application Telegram, utilisés comme canaux de relais, de publicité et de mise en relation avec des clients. L’ensemble fonctionnait selon une organisation structurée, administrée par un individu opérant sous pseudonyme et résidant à l’étranger.
La même source renseigne que l’exploitation des supports numériques a permis de découvrir un volume particulièrement important de contenus illicites, estimé à deux mille cent quarante-huit (2148) vidéos et images à caractère pornographique, mettant en scène des personnes identifiées et diffusées à grande échelle sur les plateformes concernées.
Les éléments recueillis ont permis d’identifier trois (3) personnes impliquées, lesquelles ont été interpellées et entendues dans le cadre de la procédure. Selon la Police, les investigations ont mis en évidence un mode opératoire consistant en la production volontaire de vidéos personnelles à caractère pornographique, transmises à l’administrateur des plateformes afin d’en assurer la diffusion et la promotion de prestations sexuelles tarifées.
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