Les incendies sont devenus fréquents ces temps-ci au Sénégal. La preuve, jeudi vers 19 heures un incendie s'est produit dans la Zone industrielle Sodida précisément dans le "parc Sodida" . Il a fallu aux éléments des Sapeurs-pompiers, 4 tours d'horloge pour pouvoir éteindre le feu.
Ce vendredi à 9 h 05 minutes au "Parc Sodida" sis à castor en face du super marché Auchan, deux entrepôts de foin et de ferrailles de même qu'un garage de mécanicien sont en ruine. Ils ont été ravagés par les flammes.
Juste a l'entrée, des gens, les mines renfrognées, ne veulent pas se prononcer sur les causes de l'incendie. La colère et le désespoir se lisent sur les visages de ces personnes nouvellement sinistrées.
''Nous n'avons besoin de l'aide ni du gouvernement ni de personne d'autre", balance un homme d'une quarantaine d'années très en colère.
Tandis que certains sont en train de ramasser les débris de ferrailles consumés par le feu et que d'autres rouspètent et ruminent leurs ressentiments à côté, une langue pendue, nous fait une petite confession: "ici personne n'ose parler, car il y a longtemps, qu'on leur a demandé de quitter les lieux"
Sur tous les personnes interrogées personne n'a voulu endosser la la responsabilité d'être le propriétaire de ses lieux brûlés. et jusque-là, les raisons qui ont causé l'incendie ne sont pas dévoilées.
Ce vendredi à 9 h 05 minutes au "Parc Sodida" sis à castor en face du super marché Auchan, deux entrepôts de foin et de ferrailles de même qu'un garage de mécanicien sont en ruine. Ils ont été ravagés par les flammes.
Juste a l'entrée, des gens, les mines renfrognées, ne veulent pas se prononcer sur les causes de l'incendie. La colère et le désespoir se lisent sur les visages de ces personnes nouvellement sinistrées.
''Nous n'avons besoin de l'aide ni du gouvernement ni de personne d'autre", balance un homme d'une quarantaine d'années très en colère.
Tandis que certains sont en train de ramasser les débris de ferrailles consumés par le feu et que d'autres rouspètent et ruminent leurs ressentiments à côté, une langue pendue, nous fait une petite confession: "ici personne n'ose parler, car il y a longtemps, qu'on leur a demandé de quitter les lieux"
Sur tous les personnes interrogées personne n'a voulu endosser la la responsabilité d'être le propriétaire de ses lieux brûlés. et jusque-là, les raisons qui ont causé l'incendie ne sont pas dévoilées.
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