Suite à l’incident diplomatique lié à la saisie de la cargaison d’armes saisie à Lagos, qui a conduit les autorités sénégalaises à rappeler son ambassadeur en consultation, l’Iran a dépêché son ambassadeur pour prêcher la paix. Mais le Sénégal a refusé la main tendue du Gouvernement de Téhéran. Il attend de voir plus clair.
«Je viens de recevoir l’ambassadeur d’Iran qui était venu à la demande des autorités de son pays pour nous demander de revenir sur la décision que nous avons prise et d’engager des pourparlers qui permettront de régler tous les problèmes que nous avons posés», a révélé le chef de la diplomatie sénégalaise au micro de la Voix de l’Amérique.
Dakar dit attendre d’avoir des arguments convaincants. «Nous lui avons dit que nous avons pris cette position et que nous attendons que des propositions concrètes soient présentées», a ajouté Me Madické Niang.
Pour Me Madické Niang, ce problème doit être réglé plus sérieusement parce que la sécurité de la sous-région en vaut la chandelle. «Il y a ces armes qui étaient saisies à Lagos. Même si la Gambie avait dit que ces armes ne pouvaient pas lui être destinées, une fois qu’il y a ces armes, nous nous posons des questions relatives à la sécurité dans la sous-région qui nous importe beaucoup (…)», a développé le ministre d’Etat, ministre des affaires étrangères.
«Je viens de recevoir l’ambassadeur d’Iran qui était venu à la demande des autorités de son pays pour nous demander de revenir sur la décision que nous avons prise et d’engager des pourparlers qui permettront de régler tous les problèmes que nous avons posés», a révélé le chef de la diplomatie sénégalaise au micro de la Voix de l’Amérique.
Dakar dit attendre d’avoir des arguments convaincants. «Nous lui avons dit que nous avons pris cette position et que nous attendons que des propositions concrètes soient présentées», a ajouté Me Madické Niang.
Pour Me Madické Niang, ce problème doit être réglé plus sérieusement parce que la sécurité de la sous-région en vaut la chandelle. «Il y a ces armes qui étaient saisies à Lagos. Même si la Gambie avait dit que ces armes ne pouvaient pas lui être destinées, une fois qu’il y a ces armes, nous nous posons des questions relatives à la sécurité dans la sous-région qui nous importe beaucoup (…)», a développé le ministre d’Etat, ministre des affaires étrangères.
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