Le retour à la peine de mort ! C’est ce que réclament les Thiessois qui ont vu leur ville envahie de plus en plus par l’insécurité. Selon eux, cette situation s’explique en partie par l’impunité envers ceux qui s’amusent à agresser ou à tuer : «On en a assez de cette situation. Des agresseurs s’emploient à violenter d’honnêtes citoyens leur ôtant leurs biens, allant des fois jusqu’à tuer. Ce qui est inadmissible. Et le pire, c’est qu’on les rencontre dans la rue, quelques mois après avoir été arrêtés, alors qu’ils devaient croupir au fond d’une cellule pour le restant de leur vie», s’est insurgé un homme trouvé à côté du marché.
Son compagnon va plus loin en réclamant le retour à la peine de mort : «Si on avait continué à appliquer la charia, nous n’aurons jamais à vivre cette situation. Si les agresseurs et autres savaient qu’ils seraient tués si jamais ils tuaient ou agressaient, les meurtres et les viols auraient disparu depuis longtemps», a-t-il martelé.
Son compagnon va plus loin en réclamant le retour à la peine de mort : «Si on avait continué à appliquer la charia, nous n’aurons jamais à vivre cette situation. Si les agresseurs et autres savaient qu’ils seraient tués si jamais ils tuaient ou agressaient, les meurtres et les viols auraient disparu depuis longtemps», a-t-il martelé.
Autres articles
-
Prix E-jicom 2025 : la huitième édition célébrée ce 13 décembre sous le signe de la Résilience
-
Bras de fer État–médias : la décision de la Cour suprême portant annulation des arrêtés du ministère de la Communication
-
Kolda : des femmes outillées pour renforcer leur présence dans les chambres consulaires
-
Disparition des huit (08) pêcheurs à Saint Louis : les « Guet ndariens » interpellent le gouvernement
-
Assemblée nationale : Cheikh Tidiane Dièye adopte une approche de "rupture" face à la crise de l'Eau




Prix E-jicom 2025 : la huitième édition célébrée ce 13 décembre sous le signe de la Résilience


