Le président de la Fédération sénégalaise de football (FSF), Me Augustin Senghor a exprimé son inquiétude suite au communiqué du ministre de l’Intérieur, rappelant l’interdiction des rassemblements dans les lieux publics, jusqu’au 5 janvier, en raison de la recrudescence des cas de contaminations au coronavirus.
« En tant que Président de la FSF, je donne mon point de vue, sur le document du ministère de l'Intérieur. Il est clair que si c'est mis en application ou renouvelé, ce sera signer un arrêt de mort du sport Sénégalais. Un an ou plus sans pratiquer du sport dans un pays, cela devient inquiétant ! », a dit le président de la FSF.
« Nous devons jouer parce que les élèves vont à l'école, les étudiants à l'Université, les croyants à l'église et à la mosquée, les cérémonies familiales, religieuses et populaires ont repris de plus bel et j'en passe », a-t-il expliqué.
Expliquant toujours son désaccord avec les autorités étatiques, Me Augustin Senghor a estimé que « nous devons jouer parce que c'est bon pour la santé publique et pour notre jeunesse ».
« Nous devons jouer parce que hors de chez nous, des pays largement plus affectés que le nôtre ont mis en place des dispositions pour que le sport continue de manière régulée et responsable. Pourquoi pas nous ? », continue à s’indigner le leader des sportifs.
Le monde sportif a jusque-là été très réceptif, discipliné et constructif, a révélé Me Augustin Senghor. Qui s’interroge : « Mais jusqu'à quand devrons continuer à exposer des frais et dépenser nos maigres moyens en tant que clubs, fédération ou autres groupements sportifs ou d'acteurs sans pouvoir jouer ? ».
Il a appelé à « poser le débat avec tout le respect qui sied auprès des autorités et les convaincre afin de trouver la meilleure solution », estimant que « faire du sport à huis clos et dans le respect des mesures barrières est bien possible ».
« En tant que Président de la FSF, je donne mon point de vue, sur le document du ministère de l'Intérieur. Il est clair que si c'est mis en application ou renouvelé, ce sera signer un arrêt de mort du sport Sénégalais. Un an ou plus sans pratiquer du sport dans un pays, cela devient inquiétant ! », a dit le président de la FSF.
« Nous devons jouer parce que les élèves vont à l'école, les étudiants à l'Université, les croyants à l'église et à la mosquée, les cérémonies familiales, religieuses et populaires ont repris de plus bel et j'en passe », a-t-il expliqué.
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