M. Alioune Tine ne décolère pas encore de l’interdiction de la marche du Cadre de concertation et d’action de la société civile (CASC) que le préfet de Dakar avait interdite. «Nous disons qu’il y a une discrimination fondamentale qui frappe les organisations de la société civile. Quand pour les mêmes raisons le CASC a demandé à organiser une marche qui est interdite», a indiqué Alioune qui se demande : «Mais au nom de quoi le préfet de Dakar va-t-il discriminer les Sénégalais entre eux ? Au nom de quoi il fait une pratique discriminatoire de dispositions de la constitution du Sénégal ? ».
Par ailleurs, Alioune Tine exige le jugement de tous les fautifs d’actes répréhensibles. «Nous réclamons à l’Etat et à la Justice sénégalaise que tous les tortionnaires de ce pays soient jugés. Nous le réclamons également à la police sénégalaise», ont demandé Alioune Tine et ses camarades qui portaient une banderole où ils réclamaient la justice pour la mort de Abdoulaye Wade Yinghou et l’application de l’article 2. Alinéa 2 de la Convention des droits de l’homme. Selon le Président de la RADDHO, cet article stipule qu’aucun argument ne peut être possible pour justifier une torture.
C’est pourquoi, déclare-t-il : «Lorsqu’il y a torture, l’Etat a l’obligation d’ouvrir, immédiatement une enquête afin d’arrêter et de juger ses responsables. Parce qu’il y a un droit fondamental de l’homme qu’on ne perd jamais ; c’est le droit de la dignité». Pour lui, c’est justement «au nom de cette dignité humaine qu’il faut bannir la torture quelle que soit la circonstance».
Par ailleurs, Alioune Tine exige le jugement de tous les fautifs d’actes répréhensibles. «Nous réclamons à l’Etat et à la Justice sénégalaise que tous les tortionnaires de ce pays soient jugés. Nous le réclamons également à la police sénégalaise», ont demandé Alioune Tine et ses camarades qui portaient une banderole où ils réclamaient la justice pour la mort de Abdoulaye Wade Yinghou et l’application de l’article 2. Alinéa 2 de la Convention des droits de l’homme. Selon le Président de la RADDHO, cet article stipule qu’aucun argument ne peut être possible pour justifier une torture.
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