Les autorités espagnoles ont annoncé mercredi dernier, l'arrestation de sept (7) personnes soupçonnées d'avoir tué huit (8) migrants, dont un bébé de 14 mois, alors qu'ils tentaient de traverser l'Atlantique pour rejoindre les Canaries. Elles ont été interpellées à Santa Cruz de Tenerife, Madrid, León et Almerí.
Le ministère espagnol de l'Intérieur est revenu sur les faits dans un communiqué en date du mercredi 19 février. Le 28 décembre 2024, un canot accoste au port de La Restinga, sur l'île d'El Hierro, avec 224 migrants à son bord. La pirogue avait quitté l'île sénégalaise de Bassar une semaine plus tôt. À bord de l'embarcation, les services espagnols retrouvent huit exilés morts.
Un bébé de 14 mois parmi les victimes
"À leur arrivée, les migrants ont dû être immédiatement soignés par le personnel médical en raison de blessures graves, probablement subies lors d'une altercation survenue pendant la traversée", précise le communiqué. Les exilés ont reçu des coups de couteau et de fouet, explique la presse espagnole.
Selon les autorités, qui s'appuient sur les témoignages recueillis auprès des personnes blessées, les migrants décédés sont "vraisemblablement morts aux mains des chefs" du canot - probablement des proches des passeurs présents dans la pirogue pour s'assurer du bon déroulé de la traversée de l'Atlantique. Ce type de violences peut se produire sur des pirogues surchargées, où les bagarres et les confrontations sont fréquentes.
Parmi les victimes se trouvent un bébé de 14 mois, de nationalité gambienne, qui voyageait avec sa mère et son oncle, ainsi qu'un père et son fils, âgés respectivement de 50 et 18 ans, tous deux de nationalité guinéenne. Leurs proches ont déposé plainte.
Les autres victimes sont en cours d'identification.
Le ministère espagnol de l'Intérieur est revenu sur les faits dans un communiqué en date du mercredi 19 février. Le 28 décembre 2024, un canot accoste au port de La Restinga, sur l'île d'El Hierro, avec 224 migrants à son bord. La pirogue avait quitté l'île sénégalaise de Bassar une semaine plus tôt. À bord de l'embarcation, les services espagnols retrouvent huit exilés morts.
Un bébé de 14 mois parmi les victimes
"À leur arrivée, les migrants ont dû être immédiatement soignés par le personnel médical en raison de blessures graves, probablement subies lors d'une altercation survenue pendant la traversée", précise le communiqué. Les exilés ont reçu des coups de couteau et de fouet, explique la presse espagnole.
Selon les autorités, qui s'appuient sur les témoignages recueillis auprès des personnes blessées, les migrants décédés sont "vraisemblablement morts aux mains des chefs" du canot - probablement des proches des passeurs présents dans la pirogue pour s'assurer du bon déroulé de la traversée de l'Atlantique. Ce type de violences peut se produire sur des pirogues surchargées, où les bagarres et les confrontations sont fréquentes.
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