Le comité international olympique (CIO) a renouvelé vendredi son soutien aux boxeuses Imane Khelif et Lin Yu-ting qui participent au tournoi olympique après avoir été exclues des Mondiaux pour avoir échoué à un test d’établissement de leur genre.
La boxeuse algérienne Imane Khelif est « née femme, enregistrée comme femme, vit sa vie en tant que femme, boxe en tant que femme », a dit vendredi le porte-parole du CIO Mark Adams. « Ce n’est pas un cas transgenre », a-t-il ajouté au cours de la conférence de presse quotidienne du CIO, qui a publié jeudi soir un long communiqué sur le sujet.
Dans une fiche sur la boxeuse qu’il a depuis retirée de son site MyInfo, le CIO avait expliqué que « des taux élevés de testostérone » avaient entraîné sa disqualification des Mondiaux-2023 par l’International Boxing Association (IBA). L’IBA, qui entretient des relations exécrables avec le CIO, a réfuté que son test consistait en une analyse du taux de testostérone mais n’en a pas précisé la nature.
Une explication « noir ou blanc n’existe pas »
Tout le monde veut « une explication simple » mais une explication « noir ou blanc n’existe pas », « ni dans la communauté scientifique ni ailleurs », a argumenté Mark Adams, porte-parole du CIO.
Interrogé sur le fait de savoir si les deux sportives avaient été testées sur la testostérone avant la compétition des JO, Mark Adams a répondu « Non (…) Il y a beaucoup de femmes avec des taux plus élevés de testostérone que des hommes », a-t-il ajouté.
« Ce sont des femmes dans leur sport, et il est établi dans ce cas que ce sont des femmes », avait déjà expliqué mardi Mark Adams mardi lors d’un point presse, refusant alors de citer le nom des athlètes.
Les deux sportives ont combattu aux JO de Tokyo en 2021, selon le CIO.
La boxeuse algérienne Imane Khelif est « née femme, enregistrée comme femme, vit sa vie en tant que femme, boxe en tant que femme », a dit vendredi le porte-parole du CIO Mark Adams. « Ce n’est pas un cas transgenre », a-t-il ajouté au cours de la conférence de presse quotidienne du CIO, qui a publié jeudi soir un long communiqué sur le sujet.
Dans une fiche sur la boxeuse qu’il a depuis retirée de son site MyInfo, le CIO avait expliqué que « des taux élevés de testostérone » avaient entraîné sa disqualification des Mondiaux-2023 par l’International Boxing Association (IBA). L’IBA, qui entretient des relations exécrables avec le CIO, a réfuté que son test consistait en une analyse du taux de testostérone mais n’en a pas précisé la nature.
Une explication « noir ou blanc n’existe pas »
Tout le monde veut « une explication simple » mais une explication « noir ou blanc n’existe pas », « ni dans la communauté scientifique ni ailleurs », a argumenté Mark Adams, porte-parole du CIO.
Interrogé sur le fait de savoir si les deux sportives avaient été testées sur la testostérone avant la compétition des JO, Mark Adams a répondu « Non (…) Il y a beaucoup de femmes avec des taux plus élevés de testostérone que des hommes », a-t-il ajouté.
« Ce sont des femmes dans leur sport, et il est établi dans ce cas que ce sont des femmes », avait déjà expliqué mardi Mark Adams mardi lors d’un point presse, refusant alors de citer le nom des athlètes.
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