Le 15 février est la journée internationale de lutte contre les cancers infantiles. Chaque année, entre 1000 et 1200 nouveaux cas de cancer sont détectés chez les enfants au Sénégal. Pourtant, seuls 183 d'entre eux sont actuellement sous traitement, un chiffre révélateur du défi majeur qui représente la détection précoce.
« Le cancer de l'enfant c'est un fléau mondial. Chaque année 400.000 enfants âgés de 0 à 19 ans sont atteints de cancer. Au Sénégal, nous enregistrons chaque année 1000 à 1200 cas. Actuellement, nous avons 183 enfants qui sont atteints de cancer», a déclaré sur Sud FM, Dr Malick Hann, chef de la division de lutte contre les maladies non transmissibles
Selon lui, de nombreux cas restent non répertoriés, car les enfants ne sont pas toujours conduits à temps vers les structures de santé. D'où la nécessité d'impliquer davantage les acteurs communautaires et les familles pour améliorer l'acheminement des jeunes patients vers les districts sanitaires.
Il souligne que cinq types de cancers infantiles sont les plus fréquents au Sénégal : les cancers de l'œil, les leucémies (cancers du sang), les cancers du rein, ainsi que ceux qui contractent les ganglions et la mâchoire. « Un diagnostic précoce augmente considérablement les chances de guérison », a-t-il dit.
Pour mieux lutter contre cette maladie, le Dr Hann prône une intensification de la sensibilisation et le renforcement de la formation des infirmiers et sages-femmes afin qu'ils puissent détecter rapidement les premiers signes du cancer chez l'enfant.
Selon l’ONU, chaque année, environ 400.000 enfants sont diagnostiqués d’un cancer et la plupart d’entre eux vivent dans des pays à faible revenu où les médicaments sont inabordables ou indisponibles, ce qui entraîne un taux de mortalité écrasant de 70 %.
« Le cancer de l'enfant c'est un fléau mondial. Chaque année 400.000 enfants âgés de 0 à 19 ans sont atteints de cancer. Au Sénégal, nous enregistrons chaque année 1000 à 1200 cas. Actuellement, nous avons 183 enfants qui sont atteints de cancer», a déclaré sur Sud FM, Dr Malick Hann, chef de la division de lutte contre les maladies non transmissibles
Selon lui, de nombreux cas restent non répertoriés, car les enfants ne sont pas toujours conduits à temps vers les structures de santé. D'où la nécessité d'impliquer davantage les acteurs communautaires et les familles pour améliorer l'acheminement des jeunes patients vers les districts sanitaires.
Il souligne que cinq types de cancers infantiles sont les plus fréquents au Sénégal : les cancers de l'œil, les leucémies (cancers du sang), les cancers du rein, ainsi que ceux qui contractent les ganglions et la mâchoire. « Un diagnostic précoce augmente considérablement les chances de guérison », a-t-il dit.
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