A Kaffrine, ville située au centre-ouest du Sénégal, un conducteur de moto a été mortellement fauché par un véhicule mardi dans la matinée, à l’entrée de la commune de Nganda, rapporte la Rfm, dans son édition de 12 heures.
Au Sénégal, chaque année, plus de 600 morts sont enregistrés dans les accidents de circulation et le facteur humain reste responsable à 80%, malgré les efforts fournis, selon les responsables de la sécurité routière lors d'un atelier national lundi.
L'objectif du plan décennal de sécurité routière était de réduire les accidents de la circulation de 35%. A l'heure du bilan, les responsables se sont rendus compte que l'objectif n'est pas atteint. Et le ministre des Transport et du désenclavement a appelé à plus de vigilance.
"Nous devrons nous engager à être beaucoup plus vigilants et présents dans la sensibilisation et dans la formation. Mais aussi dans les actions de répressions. Ce qui devrait nous conduire à revoir la législation et la réglementation sur la sécurité routière et renforcer le rôle de la police et de la gendarmerie", a dit Oumar Youm.
Une étude a montré que plus de 80% des conducteurs n'ont pas fait d'auto école pour passer le permis. La plupart sont analphabètes. Ajouter à cela, il y a une absence réelle de réglementation qui précise le temps de travail de certains conducteurs. Un facteur identité comme une des causes des accidents routiers.
Au Sénégal, chaque année, plus de 600 morts sont enregistrés dans les accidents de circulation et le facteur humain reste responsable à 80%, malgré les efforts fournis, selon les responsables de la sécurité routière lors d'un atelier national lundi.
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"Nous devrons nous engager à être beaucoup plus vigilants et présents dans la sensibilisation et dans la formation. Mais aussi dans les actions de répressions. Ce qui devrait nous conduire à revoir la législation et la réglementation sur la sécurité routière et renforcer le rôle de la police et de la gendarmerie", a dit Oumar Youm.
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