Si l’arrestation de Bamba Fall et Cie avait pour dessein de les faire plier, c’est peine perdue. C’est du moins ce que déclare Khalifa Sall qui présidait un rassemblement de soutien au maire de la Médina, à Gibraltar.
«L’emprisonnement de Bamba Fall et compagnie ne nous fera pas taire. Emprisonnés ou libres, ils défendront leurs convictions jusqu’à la mort. Dans ce pays, personne n’a plus le droit de parler. Dans quel pays sommes-nous ? Le débat contradictoire est une exigence. On est dans un pays de liberté, de démocratie, dans un pays où les gens tiennent à exercer leur droit et leur liberté. La démocratie, c’est la contradiction. Il n’y a qu’un juge ici, c’est le peuple», a-t-il martelé.
Mais, fait-il remarqué, cette posture de Tanor et de ses alliés ne démontre que leur faiblesse et leur infériorité sur le terrain. Puisque dans le contraire, ils y seraient descendus pour essayer de répondre au débat d’idées que lui, le maire de Dakar a posé. Car, affirme-t-il, «L’emprisonnement, l’intimidation, c’est l’arme des faibles».
Selon lui, le dossier de ses partisans qui a atterri devant la justice est une défaite en soi de la direction du Parti socialiste. Laquelle direction n’a pas pu instaurer un dialogue démocratique et franc au sein des instances du Ps.
«L’emprisonnement de Bamba Fall et compagnie ne nous fera pas taire. Emprisonnés ou libres, ils défendront leurs convictions jusqu’à la mort. Dans ce pays, personne n’a plus le droit de parler. Dans quel pays sommes-nous ? Le débat contradictoire est une exigence. On est dans un pays de liberté, de démocratie, dans un pays où les gens tiennent à exercer leur droit et leur liberté. La démocratie, c’est la contradiction. Il n’y a qu’un juge ici, c’est le peuple», a-t-il martelé.
Mais, fait-il remarqué, cette posture de Tanor et de ses alliés ne démontre que leur faiblesse et leur infériorité sur le terrain. Puisque dans le contraire, ils y seraient descendus pour essayer de répondre au débat d’idées que lui, le maire de Dakar a posé. Car, affirme-t-il, «L’emprisonnement, l’intimidation, c’est l’arme des faibles».
Selon lui, le dossier de ses partisans qui a atterri devant la justice est une défaite en soi de la direction du Parti socialiste. Laquelle direction n’a pas pu instaurer un dialogue démocratique et franc au sein des instances du Ps.
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