Khalifa Sall est monté au créneau pour fustiger les convocations servies à ses jeunes partisans accusés d’avoir saccagé le siège du Parti socialiste. Selon lui, il y a des raisons outres que celles avancées qui motivent ces convocations : «Que des contentieux politiques se terminent à la police judiciaire, c’est très grave. C’est un précédent dangereux. Ce qui me gêne dans cette affaire, c’est qu’on est en train d’intimider. Je ne sais d’ailleurs dans quel but et pour quelle raison. Peut-être c’est la prochaine réunion du bureau politique qui explique cela. En tout état de cause, c’est une démarche qui ne saurait prospérer. Elle n’est pas dissuasive et c’est une mauvaise solution», a-t-il déclaré à la Rfm.
L’édile de la capitale sénégalaise, présent actuellement au Québec, ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Car, sur le ton du défi, il a lancé : «ces jeunes étaient venus défendre une cause, ils se réclament de moi. Et je suis prêt à répondre. Qu’on m’appelle et qu’on les laisse tranquille. Le problème est fondamentalement politique, donc il faut le régler politiquement».
Sans le nommer, le Secrétaire à la vie politique du Ps a adressé un message à son Secrétaire général, Ousmane Tanor Dieng à qui il propose un autre chemin pour régler ce problème : «Le problème du parti, c’est un problème de cohésion et de gouvernance. Je pense qu’on peut le régler en notre sein. Mais vouloir intimider les gens, leur faire pression, ça c’est futile. Si on veut discuter de ce problème ou chercher un responsable, on n’a qu’à m’appeler. Je suis prêt à répondre devant la police et la justice. Ces jeunes qui sont traqués se réclament tous de moi ou sont proches de moi. Mais qu’on m’appelle ! Si on me convoque, je viens. Parce que les vrais responsables, c’est nous»
L’édile de la capitale sénégalaise, présent actuellement au Québec, ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Car, sur le ton du défi, il a lancé : «ces jeunes étaient venus défendre une cause, ils se réclament de moi. Et je suis prêt à répondre. Qu’on m’appelle et qu’on les laisse tranquille. Le problème est fondamentalement politique, donc il faut le régler politiquement».
Sans le nommer, le Secrétaire à la vie politique du Ps a adressé un message à son Secrétaire général, Ousmane Tanor Dieng à qui il propose un autre chemin pour régler ce problème : «Le problème du parti, c’est un problème de cohésion et de gouvernance. Je pense qu’on peut le régler en notre sein. Mais vouloir intimider les gens, leur faire pression, ça c’est futile. Si on veut discuter de ce problème ou chercher un responsable, on n’a qu’à m’appeler. Je suis prêt à répondre devant la police et la justice. Ces jeunes qui sont traqués se réclament tous de moi ou sont proches de moi. Mais qu’on m’appelle ! Si on me convoque, je viens. Parce que les vrais responsables, c’est nous»
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