Khalifa Ababacar SALL poursuit ses visites de "courtoisie", post-Rebeuss. Après Abdoulaye Wade, l’ancien maire de Dakar s’est rendu chez le leader de Pastef Ousmane SONKO, ce vendredi, en compagnie d'une forte délégation, dont le maire de Dieupeul Cheikh Gueye et surtout avec son ami Barthélémy Dias, son porte-parole Moussa Taye et autres partisans.
Connu pour un discours apaisé, de rassemblement depuis sa sortie de prison, l'ancien maire de Dakar n'a nullement dérogé à cette règle. Lors de son speech, il a commencé par présenter son message de vœux en ce nouvel an, avant de féliciter et encourager son " ami et frère ", comme il s'est affectueusement adressé à Ousmane Sonko.
" Ousmane Sonko est un frère. Dans des difficultés il m'a soutenu, sans même savoir les tenants et les aboutissants de mon séjour carcéral. Mais pour des questions de principe et d'éthique, il s'est tellement battu. Tellement son engagement était fort. Donc le remercier c'est normal et ça lui revient de droit. Je me souviens des trois fois qu'il m'a rendu visite à la prison, pour vous dire qu'il avait même le gêne de me parler de la politique. Nous parlions comme des frères", se rappelle le socialiste avant de formuler des prières à l'encontre de parti "Pastef les Patriotes"
Poursuivant ces propos, Khalifa Ababacar Sall a abordé la question de son avenir politique. "Nous, qui croyons à Dieu, nous disons que l'avenir appartient à Dieu. Mais n'empêche que la personne ne doit pas rester sans se battre. Nous avions discuté avec vous, mais Dieu en a décidé autre. Mais, dans ce pays où nous partageons, on avait entretenu des discussions, nous comptons les poursuivre. Parce que nous appartenons aux Sénégalais. Et ce Sénégal à qui nous nous appartenons, devrait nous intéresser", a déclaré le socialiste sur son avenir politique.
Connu pour un discours apaisé, de rassemblement depuis sa sortie de prison, l'ancien maire de Dakar n'a nullement dérogé à cette règle. Lors de son speech, il a commencé par présenter son message de vœux en ce nouvel an, avant de féliciter et encourager son " ami et frère ", comme il s'est affectueusement adressé à Ousmane Sonko.
" Ousmane Sonko est un frère. Dans des difficultés il m'a soutenu, sans même savoir les tenants et les aboutissants de mon séjour carcéral. Mais pour des questions de principe et d'éthique, il s'est tellement battu. Tellement son engagement était fort. Donc le remercier c'est normal et ça lui revient de droit. Je me souviens des trois fois qu'il m'a rendu visite à la prison, pour vous dire qu'il avait même le gêne de me parler de la politique. Nous parlions comme des frères", se rappelle le socialiste avant de formuler des prières à l'encontre de parti "Pastef les Patriotes"
Poursuivant ces propos, Khalifa Ababacar Sall a abordé la question de son avenir politique. "Nous, qui croyons à Dieu, nous disons que l'avenir appartient à Dieu. Mais n'empêche que la personne ne doit pas rester sans se battre. Nous avions discuté avec vous, mais Dieu en a décidé autre. Mais, dans ce pays où nous partageons, on avait entretenu des discussions, nous comptons les poursuivre. Parce que nous appartenons aux Sénégalais. Et ce Sénégal à qui nous nous appartenons, devrait nous intéresser", a déclaré le socialiste sur son avenir politique.
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