À quelques jours de la fête de Korité, l’heure est aux derniers réglages. Des femmes sont sorties nombreuses pour finaliser, s’occuper de leurs nouvelles tenues et celles de leurs enfants ou frères en perspective de la fête religieuse. Au niveau des commerces, tous les moyens sont bons pour attirer des clients.
Cheikh, trouvé dans son magasin en train de trier des tissus fait savoir que les clients se font un peu rares. « Les clients ne sont pas encrés aux rendez-vous, mais espérons qu’ils seront présents d’ici deux jours », déclare le jeune vendeur de tissus. Des tissus comme le « brodé », « pirkheu », et le « Jezner» sont en vogue, partout dans le marché cette année. Ce sont des genres de tissus qui sont exhibés par les vendeurs.
Une autre vendeuse est trouvée dans son magasin, Adji, est dans la même mouvance que Cheikh Ndiaye. « Franchement, cette année, les clients sont un peu plus au rendez-vous. Les mamans viennent, mais, en général, c’est pour les enfants car elles disent que c’est la fête des enfants », soutient la jeune commerçante qui dit attendre la Tabaski ou le les Magals.
Après les cantines et magasins de commerce, place aux ateliers de tailleurs et les vendeurs d'accessoires. Dans cet atelier de tailleur, on a du mal à s’entendre tant le bruit des machines à coudre est intense. Trouvé sur machine, le jeune tailleur nous affirme que les commandes sont en baisse par rapport à l'année dernière. Selon lui, les gens n’ont plus d’argent, en plus de cela, les enfants sont rois en ce moment, car ils veulent s’habiller coûte que coûte.
Cheikh, trouvé dans son magasin en train de trier des tissus fait savoir que les clients se font un peu rares. « Les clients ne sont pas encrés aux rendez-vous, mais espérons qu’ils seront présents d’ici deux jours », déclare le jeune vendeur de tissus. Des tissus comme le « brodé », « pirkheu », et le « Jezner» sont en vogue, partout dans le marché cette année. Ce sont des genres de tissus qui sont exhibés par les vendeurs.
Une autre vendeuse est trouvée dans son magasin, Adji, est dans la même mouvance que Cheikh Ndiaye. « Franchement, cette année, les clients sont un peu plus au rendez-vous. Les mamans viennent, mais, en général, c’est pour les enfants car elles disent que c’est la fête des enfants », soutient la jeune commerçante qui dit attendre la Tabaski ou le les Magals.
Après les cantines et magasins de commerce, place aux ateliers de tailleurs et les vendeurs d'accessoires. Dans cet atelier de tailleur, on a du mal à s’entendre tant le bruit des machines à coudre est intense. Trouvé sur machine, le jeune tailleur nous affirme que les commandes sont en baisse par rapport à l'année dernière. Selon lui, les gens n’ont plus d’argent, en plus de cela, les enfants sont rois en ce moment, car ils veulent s’habiller coûte que coûte.
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