Le porte-parole du ministère syrien des Affaires étrangères, Jihad Makdissi, a expliqué, lors d'une conférence de presse à Damas la position du régime sur les armes chimiques.
L’enquête de l’ONU porte avant tout sur l’incident de mardi dernier, le 19 mars 2013, à Khan al Assal près d’Alep où un bombardement, attribué par le régime à l’opposition, a laissé une forte odeur de chlore. Mais la mission des enquêteurs pourra également être étendue à deux autres incidents prés de Damas et de Homs pour lesquels les rebelles accusent le régime d’avoir utilisé des armes chimiques.Obtenir des réponses sera extrêmement difficile. Le secrétaire général Ban Ki-Moon n’a d’ailleurs pas voulu donner de date pour l’arrivée des enquêteurs en Syrie. L’ONU doit d’abord obtenir des garanties d’accès, de déplacement et de sécurité. L’été dernier, à la fin de leur mission les observateurs de l’ONU étaient cantonnés dans leurs hôtels et ne pouvaient plus patrouiller. Or, la situation est encore plus dangereuse aujourd’hui.
Source :Rfi.fr
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