
La Corée du Nord a tiré samedi 26 août trois missiles balistiques à courte portée en mer du Japon, a déclaré l'armée américaine, confirmant les tirs de "projectiles non identifiés" annoncés plus tôt par le ministère sud-coréen de la Défense.
Ces tests ont eu lieu en pleines manœuvres militaires conjointes entre forces américaines et sud-coréennes.
Aucun des missiles, tirés du site nord-coréen de Kittaeryong, n'a présenté de menace pour les États-Unis ou pour le territoire américain de Guam, a précisé un porte-parole du commandement de l'armée américaine dans le Pacifique.
"Le premier et le troisième missile (...) ont présenté un dysfonctionnement en vol" et le deuxième "semble avoir explosé presque instantanément", a affirmé le porte-parole, le commandant Dave Benham, précisant que les trois tirs s'étaient étalés sur 30 minutes.
Selon le ministère sud-coréen de la Défense, les tirs ont commencé à 6h49, heure locale samedi (23h49 en France) et les projectiles ont parcouru environ 250 kilomètres.
"Nous suivons de près la situation"
Le président américain Donald Trump "a été informé" de ces tirs "et nous suivons de près la situation", a souligné Sarah Sanders, la chargée de communication de la Maison-Blanche.
Le président sud-coréen Moon Jae-in a été immédiatement informé de ces tirs et "les forces armées ont entamé une stricte surveillance du régime nordiste [de Pyongyang, NDLR] afin de pouvoir répondre à d'autres provocations", a encore indiqué le ministère de la Défense à Séoul.
Le Japon a indiqué que son territoire n'avait pas été affecté. "Nous confirmons qu'aucun missile balistique n'est tombé sur le territoire de notre pays ni dans sa zone économique exclusive" en mer, a déclaré à des journalistes le porte-parole du gouvernement japonais, Yoshihide Suga.
Ces tests ont eu lieu en pleines manœuvres militaires conjointes entre forces américaines et sud-coréennes.
Aucun des missiles, tirés du site nord-coréen de Kittaeryong, n'a présenté de menace pour les États-Unis ou pour le territoire américain de Guam, a précisé un porte-parole du commandement de l'armée américaine dans le Pacifique.
"Le premier et le troisième missile (...) ont présenté un dysfonctionnement en vol" et le deuxième "semble avoir explosé presque instantanément", a affirmé le porte-parole, le commandant Dave Benham, précisant que les trois tirs s'étaient étalés sur 30 minutes.
Selon le ministère sud-coréen de la Défense, les tirs ont commencé à 6h49, heure locale samedi (23h49 en France) et les projectiles ont parcouru environ 250 kilomètres.
"Nous suivons de près la situation"
Le président américain Donald Trump "a été informé" de ces tirs "et nous suivons de près la situation", a souligné Sarah Sanders, la chargée de communication de la Maison-Blanche.
Le président sud-coréen Moon Jae-in a été immédiatement informé de ces tirs et "les forces armées ont entamé une stricte surveillance du régime nordiste [de Pyongyang, NDLR] afin de pouvoir répondre à d'autres provocations", a encore indiqué le ministère de la Défense à Séoul.
Le Japon a indiqué que son territoire n'avait pas été affecté. "Nous confirmons qu'aucun missile balistique n'est tombé sur le territoire de notre pays ni dans sa zone économique exclusive" en mer, a déclaré à des journalistes le porte-parole du gouvernement japonais, Yoshihide Suga.
Autres articles
-
Coronavirus dans le monde vendredi 11 décembre : nouveaux cas et morts en 24h
-
La sonde japonaise Hayabusa-2 rapporte aux Terriens des poussières d'astéroïde
-
Covid-19: Le Royaume-Uni autorise le vaccin Pfizer/BioNTech, une première mondiale
-
Le mystérieux assassinat d'Abou Mohammed al-Masri, le numéro 2 d'Al-Qaïda
-
En images : le mandat du président américain Donald Trump en 12 dates clés