La prison centrale de Kisangani souffre de surpopulation et une propagation rapide du Mpox est redoutée. Lors de la visite à la prison, l’équipe de prévention et de contrôle des infections a procédé à l’isolement des personnes potentiellement infectées.
Masques et combinaisons de protection enfilées, l'équipe de prévention est ainsi sortie de la prison centrale de Kisangani. Un local vient d'y être aménagé pour l’isolement rapide des prisonniers présentant les symptômes du Mpox.
« Il y a plus de 100 dortoirs. Nous avons négocié avec le directeur de la prison et on nous a donné un dortoir. On a désinfecté, on a organisé l’isolement et maintenant, nous voulons équiper ce centre-là pour y mettre ces malades pour la bonne prise en charge », a déclaré à RFI Justin Fundi, responsable du service de la prévention et de contrôle des infections dans la province de la Tshopo.
La surpopulation carcérale fait craindre une propagation rapide de Mpox dans le plus grand centre pénitencier du chef-lieu de la Tshopo. Construite en 1928, la prison centrale de Kisangani a une capacité de 500 détenus, mais compte actuellement plus du double de sa capacité initiale.
« Il y a un problème de surnombre des détenus. Vu l’expérience que nous avons eu avec le choléra l’année dernière, si on ne tient pas compte de la prévention et du contrôle des infections, ce que je crains, c’est la propagation rapide », explique Justin Fundi.
Pour lutter contre la propagation du Mpox, la réduction des visites à la prison a été décidée.
En cas de confirmation de la contamination des 22 cas suspects, les malades seront transférés au centre de traitement de mpox de l'hôpital général de référence de Kisangani.
Masques et combinaisons de protection enfilées, l'équipe de prévention est ainsi sortie de la prison centrale de Kisangani. Un local vient d'y être aménagé pour l’isolement rapide des prisonniers présentant les symptômes du Mpox.
« Il y a plus de 100 dortoirs. Nous avons négocié avec le directeur de la prison et on nous a donné un dortoir. On a désinfecté, on a organisé l’isolement et maintenant, nous voulons équiper ce centre-là pour y mettre ces malades pour la bonne prise en charge », a déclaré à RFI Justin Fundi, responsable du service de la prévention et de contrôle des infections dans la province de la Tshopo.
La surpopulation carcérale fait craindre une propagation rapide de Mpox dans le plus grand centre pénitencier du chef-lieu de la Tshopo. Construite en 1928, la prison centrale de Kisangani a une capacité de 500 détenus, mais compte actuellement plus du double de sa capacité initiale.
« Il y a un problème de surnombre des détenus. Vu l’expérience que nous avons eu avec le choléra l’année dernière, si on ne tient pas compte de la prévention et du contrôle des infections, ce que je crains, c’est la propagation rapide », explique Justin Fundi.
Pour lutter contre la propagation du Mpox, la réduction des visites à la prison a été décidée.
En cas de confirmation de la contamination des 22 cas suspects, les malades seront transférés au centre de traitement de mpox de l'hôpital général de référence de Kisangani.
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