500 000 femmes ont été violées dans la plus grande indifférence en République démocratique du Congo. C’est pour mettre fin au silence et agir tel un porte voix des victimes que Valerie Trierweiller a présidé une séance convoquée en marge du Conseil des droits de l’homme à Genève.
La première dame avait pour souci d’entrainer une prise de conscience face au drame de ces femmes plongées dans un conflit dont elles sont les premières victimes.
Valerie Trierweiller a dénoncé cette arme de guerre que constituent ces viols. Elle a réclamé l’adoption d’une résolution du Conseil des droits de l’homme, appelé à designer un rapporteur spécial dépêché sur place pour mettre fin à l’impunité.
Une mesure qu’a contesté avec force le représentant de la RDC qui, voulant dédouaner son pays, a rejeté la responsabilité de ces actes criminels sur les acteurs d’un conflit régional allant jusqu’à parler, à propos de ces viols, d’épiphénomène.
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