Cette rencontre avec le dirigeant rwandais Paul Kagame est « toujours en projet », confirme un proche du président congolais Félix Tshisekedi. Néanmoins, l’une des conditions préalables posées par la partie congolaise est le retrait des troupes rwandaises du pays. Une présence attestée par des rapports des Nations unies et condamnée par plusieurs chancelleries occidentales, montées au créneau ces dernières semaines.
Lundi 25 mars, le président rwandais Paul Kagame, dans son interview au média panafricain, Jeune Afrique, n’a pas démenti l’information. Une interview qui reste la preuve que la tension reste vive entre les deux dirigeants, malgré des tentatives d’apaisement. « Cela veut bien dire que nous avions raison », estime le chef de la diplomatie congolaise, Christophe Lutundula.
Ce dernier ajoute néanmoins que cette réunion des ministres des Affaires étrangères des deux pays, la semaine dernière en Angola, est une avancée, après plusieurs mois sans aucun échange.
« Mais sans retrait du Rwanda, on ne pourra pas aborder les questions de fond », prévient-il. D’ailleurs, aucune échéance n’a encore été fixée pour cette rencontre entre les deux chefs d’État, « mais cela se compte plutôt en semaines qu’en jours », précise notre source à la présidence.
Lundi 25 mars, le président rwandais Paul Kagame, dans son interview au média panafricain, Jeune Afrique, n’a pas démenti l’information. Une interview qui reste la preuve que la tension reste vive entre les deux dirigeants, malgré des tentatives d’apaisement. « Cela veut bien dire que nous avions raison », estime le chef de la diplomatie congolaise, Christophe Lutundula.
Ce dernier ajoute néanmoins que cette réunion des ministres des Affaires étrangères des deux pays, la semaine dernière en Angola, est une avancée, après plusieurs mois sans aucun échange.
« Mais sans retrait du Rwanda, on ne pourra pas aborder les questions de fond », prévient-il. D’ailleurs, aucune échéance n’a encore été fixée pour cette rencontre entre les deux chefs d’État, « mais cela se compte plutôt en semaines qu’en jours », précise notre source à la présidence.
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