"La Constitution en vigueur ne règle que les problèmes liés à sa révision, dès lors qu’il s’agit de procéder à l’établissement d’une nouvelle constitution, la question sort du champ juridique et pose essentiellement un problème politique", a soutenu M. Wodié.
Pour lui, cette nouvelle Constitution "va se substituer à celle en vigueur", expliquant que "le point de savoir s’il faut procéder" ou non "à la révision de la Constitution ou adopter une nouvelle pourrait faire le sujet d’un référendum".
Lors de son discours de nouvel an, M.Ouattara a annoncé un référendum "pour extirper, les articles conflictogènes" de la Constitution actuelle en vue de l'"adapter à l’évolution de (la) société et assurer une plus grande cohérence au niveau (des) Institutions" du pays.
Certains articles de la Constitution, notamment l'article 35 fixant les conditions d’éligibilité à la présidence la République a été source de polémique pendant plusieurs années en Côte d'Ivoire.
Source: Alerte Info
-
Tunisie: Des partisans du coup de force de Kaïs Saïed divisés trois ans après l'avoir soutenu
-
Kenya: le président Ruto nomme quatre figures de l'opposition dans son «gouvernement élargi» (discours)
-
Guinée: plainte contre Mamadi Doumbouya en France déposée par les familles de cadres disparus du FNDC
-
Ouganda: la police déployée à Kampala contre des manifestations anti-corruption
-
Togo: une nouvelle attaque visant des militaires a eu lieu dans le nord du pays