C’est une lettre d’Adieu de 10 Pages, remplies de rancoeur, de déception, de douleur, de colère, de mépris qu’a laissé, ce dimanche, le Docteur Paye, avant d’injecter à ses trois enfants un liquide mortel et de se donner la mort dans un immeuble sis à Sacré-Coeur.
La destinataire de la missive dont PressAfrik détient la copie n’est autre que l’épouse du défunt et auteur du drame. Elle se nommerait Ndeye Awa Diagne et serait Gynécologue à la Clinique du Cap.
Comme pour prendre à témoin la postérité, il commence presque toutes les phrases de sa missive sinistre par le terme « Souviens-toi ». Une précaution oratoire dont il s’est servie pour rappeler les circonstances dans lesquelles il a épousé la dame, toutes les épreuves par lesquelles ils sont passées, « tout ce qu’elle lui a fait vivre durant leurs 15 ans de vie commune avant de demander le divorce », après avoir décroché son diplôme de médecin et son travail dans la clinique précitée.
« Souviens-toi que quand je t’ai connu en 2004, tu avais repoussé ma demande de mariage dans un premier temps.
Souviens-toi qu’après avoir insisté pendant environ un mois, tu m’avais dit: Je ne peux pas car j’ai donné ma parole à quelqu’un d’autre.
Souviens-toi que c’était toi qui m’avais appelé trois mois plus tard pour le demander si ma demande en mariage tenait toujours ». Telles sont les premières phrases de la longue lettre du Docteur Paye à sa femme.
Et après avoir raconté des détails intimes de sa vie de couple qu’il interprète comme une trahison et des coups bas, de la part de son épouse, le médecin-dentiste annonce dans l’avant-dernière page de sa lettre son projet de « partir avec ses enfants ».
« Tu t’es bien servi de moi comme géniteur pour faire des enfants.
Tu ne mérites pas ces enfants. Je les emmène avec moi car tu n’as pas fait le dixième de ce que j’ai fait pour eux.
Tu ne mérites pas d’avoir des enfants qui portent mon nom.
Fais ce que tu veux de ta misérable vie »
La destinataire de la missive dont PressAfrik détient la copie n’est autre que l’épouse du défunt et auteur du drame. Elle se nommerait Ndeye Awa Diagne et serait Gynécologue à la Clinique du Cap.
Comme pour prendre à témoin la postérité, il commence presque toutes les phrases de sa missive sinistre par le terme « Souviens-toi ». Une précaution oratoire dont il s’est servie pour rappeler les circonstances dans lesquelles il a épousé la dame, toutes les épreuves par lesquelles ils sont passées, « tout ce qu’elle lui a fait vivre durant leurs 15 ans de vie commune avant de demander le divorce », après avoir décroché son diplôme de médecin et son travail dans la clinique précitée.
« Souviens-toi que quand je t’ai connu en 2004, tu avais repoussé ma demande de mariage dans un premier temps.
Souviens-toi qu’après avoir insisté pendant environ un mois, tu m’avais dit: Je ne peux pas car j’ai donné ma parole à quelqu’un d’autre.
Souviens-toi que c’était toi qui m’avais appelé trois mois plus tard pour le demander si ma demande en mariage tenait toujours ». Telles sont les premières phrases de la longue lettre du Docteur Paye à sa femme.
Et après avoir raconté des détails intimes de sa vie de couple qu’il interprète comme une trahison et des coups bas, de la part de son épouse, le médecin-dentiste annonce dans l’avant-dernière page de sa lettre son projet de « partir avec ses enfants ».
« Tu t’es bien servi de moi comme géniteur pour faire des enfants.
Tu ne mérites pas ces enfants. Je les emmène avec moi car tu n’as pas fait le dixième de ce que j’ai fait pour eux.
Tu ne mérites pas d’avoir des enfants qui portent mon nom.
Fais ce que tu veux de ta misérable vie »
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