Les corps de certaines victimes montrent qu’elles ont été l’objet d’exécutions sommaires, selon le secrétaire général de l’ONU.
Les autorités burundaises ont le devoir d’assurer la protection des civils, a-t-il rappelé.
De son côté, le président burundais Pierre Nkurunziza a ordonné aux groupes armés de déposer les armes au plus tard ce week-end.
Les violences ont éclaté depuis le mois d’avril, après qu’il a décidé de briguer un nouveau mandat présidentiel.
M. Nkurunziza a été réélu en juillet, en remportant 70 pour cent des suffrages. L’élection avait été boycottée par l’opposition.
source:bbc Afrique
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