Le Fonds national de développement agro-sylvo-pastoral (FNDASP) a annoncé le déblocage d’une enveloppe de 600 millions de francs CFA destinée à la reconstitution du capital semencier. L’information a été donnée vendredi par Arfang Ndour, chef de projet dans la zone centre ainsi qu’à Tambacounda et Koupentoum.
Cette initiative s’inscrit dans le cadre du projet « Sécurité alimentaire et résilience des systèmes alimentaires durables », communément appelé Gungue Mbay, financé par l’Union européenne et mis en œuvre en partenariat avec l’Agence belge de développement ENABEL. Selon Arfang Ndour, « à travers les acquis du FNDASP, le bailleur a jugé nécessaire d’en faire une mise à l’échelle dans sept départements du bassin arachidier ».
Le projet avait déjà engagé un accompagnement des sociétés coopératives pour la reconstitution du capital semencier, en acquérant auprès de l’Institut sénégalais de recherches agricoles (ISRA) des semences au profit des producteurs. Cette démarche avait permis d’obtenir, l’année dernière, « un taux de certification assez élevé en termes de semences d’arachide, de céréales et de sésame », a-t-il précisé au micro d´Aps. C’est ce succès qui a motivé le passage à l’échelle, avec l’appui renforcé du bailleur.
Pour assurer le suivi, un Comité départemental de coordination et de suivi du projet a été mis en place sous la présidence du préfet de Kaolack, Latyr Ndiaye. Dans ce cadre, le FNDASP a ouvert un guichet financier interne autonome, spécifiquement dédié au semencier, et alimenté à hauteur de 600 millions FCFA. L’objectif est de soutenir les organisations de producteurs dans leur processus de reconstitution du capital semencier.
Un partenariat de près de 300 millions FCFA a été noué avec l’ISRA afin d’assurer la production de semences de prébase en grande quantité et dans des délais rapides. Ces semences sont ensuite rétrocédées aux organisations faîtières de producteurs pour leur multiplication. À en croire Arfang Ndour, « cette enveloppe constitue une subvention qui sera gérée sous forme de revolving. Les organisations bénéficiaires devront procéder à des prélèvements permettant de réalimenter le guichet et d’assurer ainsi la pérennité du mécanisme. »
Le projet Gungue Mbay s’inscrit également dans une logique de synergie et de complémentarité. Il vise à fédérer les projets et programmes actifs dans le département de Kaolack afin d’amplifier l’impact des interventions sur les communautés rurales. « Nous travaillons à mettre en place une démarche synergique et complémentaire pour plus d’impact au niveau des communautés à la base », a insisté Arfang Ndour.
Cette initiative s’inscrit dans le cadre du projet « Sécurité alimentaire et résilience des systèmes alimentaires durables », communément appelé Gungue Mbay, financé par l’Union européenne et mis en œuvre en partenariat avec l’Agence belge de développement ENABEL. Selon Arfang Ndour, « à travers les acquis du FNDASP, le bailleur a jugé nécessaire d’en faire une mise à l’échelle dans sept départements du bassin arachidier ».
Le projet avait déjà engagé un accompagnement des sociétés coopératives pour la reconstitution du capital semencier, en acquérant auprès de l’Institut sénégalais de recherches agricoles (ISRA) des semences au profit des producteurs. Cette démarche avait permis d’obtenir, l’année dernière, « un taux de certification assez élevé en termes de semences d’arachide, de céréales et de sésame », a-t-il précisé au micro d´Aps. C’est ce succès qui a motivé le passage à l’échelle, avec l’appui renforcé du bailleur.
Pour assurer le suivi, un Comité départemental de coordination et de suivi du projet a été mis en place sous la présidence du préfet de Kaolack, Latyr Ndiaye. Dans ce cadre, le FNDASP a ouvert un guichet financier interne autonome, spécifiquement dédié au semencier, et alimenté à hauteur de 600 millions FCFA. L’objectif est de soutenir les organisations de producteurs dans leur processus de reconstitution du capital semencier.
Un partenariat de près de 300 millions FCFA a été noué avec l’ISRA afin d’assurer la production de semences de prébase en grande quantité et dans des délais rapides. Ces semences sont ensuite rétrocédées aux organisations faîtières de producteurs pour leur multiplication. À en croire Arfang Ndour, « cette enveloppe constitue une subvention qui sera gérée sous forme de revolving. Les organisations bénéficiaires devront procéder à des prélèvements permettant de réalimenter le guichet et d’assurer ainsi la pérennité du mécanisme. »
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