Le gouvernement du Niger a officiellement annoncé son retrait de l'Organisation Internationale de la Francophonie (OIF). Cette décision a été portée à l'attention des Chefs des Missions Diplomatiques et des Postes Consulaires du pays à l'extérieur par une lettre officielle datée du lundi 17 mars 2025. Dans ce document, le Gouvernement du général Tiani informe que, par la note verbale N° 003304/MAE/C/NE/CAB/M du 07 mars 2025, il a pris la décision souveraine de se retirer de l'OIF.
La lettre officielle précise : "J'ai l'honneur de porter à votre connaissance que, par note verbale N° 003304/MAE/C/NE/CAB/M en date du 07 Mars 2025, le Gouvernement Nigérien a décidé souverainement du retrait du Niger de l'Organisation Internationale de la Francophonie (OIF). Je vous saurais gré d'en informer vos juridictions respectives d'accréditation."
Cette annonce marque un tournant dans les relations du Niger avec l’OIF. Une organisation fondée en 1970 à Niamey, la capitale du Niger, par plusieurs personnalités politiques de l'époque, dont Léopold Sédar Senghor, Habib Bourguiba, Amani Diori et le Prince Sihanouk. La création de l'OIF visait à promouvoir la langue française et à renforcer la coopération entre les pays francophones.
La lettre officielle précise : "J'ai l'honneur de porter à votre connaissance que, par note verbale N° 003304/MAE/C/NE/CAB/M en date du 07 Mars 2025, le Gouvernement Nigérien a décidé souverainement du retrait du Niger de l'Organisation Internationale de la Francophonie (OIF). Je vous saurais gré d'en informer vos juridictions respectives d'accréditation."
Cette annonce marque un tournant dans les relations du Niger avec l’OIF. Une organisation fondée en 1970 à Niamey, la capitale du Niger, par plusieurs personnalités politiques de l'époque, dont Léopold Sédar Senghor, Habib Bourguiba, Amani Diori et le Prince Sihanouk. La création de l'OIF visait à promouvoir la langue française et à renforcer la coopération entre les pays francophones.
Autres articles
-
Burkina Faso: la junte du capitaine Ibrahim Traoré décide de rétablir la peine de mort
-
Guinée-Bissau: la junte au pouvoir installe un Conseil national de transition
-
Mali: l'imam Dicko prend la tête d'une nouvelle coalition d'opposition non violente et clandestine
-
Corruption, fraude, violences... l'unité militaire britannique au Kenya dénoncée par le Parlement du pays
-
RDC-Rwanda : sous l'égide de Trump, Tshisekedi et Kagame signent un accord de paix





Burkina Faso: la junte du capitaine Ibrahim Traoré décide de rétablir la peine de mort


