Face à la crise énergétique qui frappe notre pays, l’Oif et l’Iepf tiennent depuis ce mardi un atelier de deux jours pour réfléchir sur l’efficacité énergétique et le développement de son marché. Dans ce contexte, M Lamine Thioune, du ministère délégué chargé de l’énergie dira dans son discours que « l’idée de mettre en place un projet régional de développement sur l’efficacité énergétique est une initiative qui est venue à son heure, en ce sens qu’elle devrait nous aider à faire un pas décisif dans l’atteinte de nos objectifs en matière d’efficacité énergétique »
S’agissant du Responsable de programme de l’Iepf, M Jean Pierre Ndoutoum, il soulignera que « l’objectif est de partager avec les acteurs du secteur de l’énergie l’idée d’un projet de développement énergétique en Afrique avec comme phase pilote le Mali et le Sénégal. Depuis le début des années 1990, la francophonie a joué un rôle précurseur dans les pays de l’Afrique francophone par la tenue d’une série de séminaires portant sur les économies d’énergie. Ces rencontres ont pu mettre en exergue le cruel manque de ressources techniques dans la plupart des pays, de même qu’un insuffisance d’engagement politique matérialisé par l’énoncé des politiques énergétiques ».
Quant au Directeur général du Fonds africain des biocarburants et des énergies renouvelables (Faber), il notifiera que « les actions qui seront menées dans les mois et les années à venir vont contribuer à la mise en place des politiques nationales d’adaptation mais aussi à jeter les bases d’une indépendance énergétique des Etats ».
S’agissant du Responsable de programme de l’Iepf, M Jean Pierre Ndoutoum, il soulignera que « l’objectif est de partager avec les acteurs du secteur de l’énergie l’idée d’un projet de développement énergétique en Afrique avec comme phase pilote le Mali et le Sénégal. Depuis le début des années 1990, la francophonie a joué un rôle précurseur dans les pays de l’Afrique francophone par la tenue d’une série de séminaires portant sur les économies d’énergie. Ces rencontres ont pu mettre en exergue le cruel manque de ressources techniques dans la plupart des pays, de même qu’un insuffisance d’engagement politique matérialisé par l’énoncé des politiques énergétiques ».
Quant au Directeur général du Fonds africain des biocarburants et des énergies renouvelables (Faber), il notifiera que « les actions qui seront menées dans les mois et les années à venir vont contribuer à la mise en place des politiques nationales d’adaptation mais aussi à jeter les bases d’une indépendance énergétique des Etats ».
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