« Grande nouvelle ! », s'écrit le président américain. Selon Donald Trump, le nouveau gouvernement soudanais a accepté de payer 335 millions de dollars aux victimes américaines et leurs familles, des attentats terroristes perpétrés en 1998 contre les ambassades du Kenya et de Tanzanie... Dès que la somme sera versée, les États-Unis retireront le Soudan de la liste.
L'annonce a très rapidement suscité une réponse du Premier ministre soudanais, Abdallah Hamdok : « Merci président Trump. Nous sommes sur le point de nous débarasser de l'héritage le plus lourd du régime défunt. » L'Union européenne s'est elle aussi réjouie de cette décision « capitale ».
Le retrait de cette liste devrait notamment permettre au Soudan d'accéder de nouveau aux prêts et aux aides internationales. Une avancée importante pour le Soudan qui est touchée par une crise économique.
Le Soudan avait été inscrit sur la liste noire américaine en 1993. À l'époque, Omar el-Béchir était accusé de soutenir les réseaux islamistes dont Al-Qaïda responsable des attaques de 1998 qui avait causé la mort de plus de 200 personnes. La chute du dirigeant soudanais l'année dernière avait permis l'ouverture de discussions entre Washington et les nouvelles autorités soudanaises.
L'annonce a très rapidement suscité une réponse du Premier ministre soudanais, Abdallah Hamdok : « Merci président Trump. Nous sommes sur le point de nous débarasser de l'héritage le plus lourd du régime défunt. » L'Union européenne s'est elle aussi réjouie de cette décision « capitale ».
Le retrait de cette liste devrait notamment permettre au Soudan d'accéder de nouveau aux prêts et aux aides internationales. Une avancée importante pour le Soudan qui est touchée par une crise économique.
Le Soudan avait été inscrit sur la liste noire américaine en 1993. À l'époque, Omar el-Béchir était accusé de soutenir les réseaux islamistes dont Al-Qaïda responsable des attaques de 1998 qui avait causé la mort de plus de 200 personnes. La chute du dirigeant soudanais l'année dernière avait permis l'ouverture de discussions entre Washington et les nouvelles autorités soudanaises.
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