Le Syndicat National des Travailleurs du Pétrole et du Gaz du Sénégal (SNTPGS) a décidé de différer sa grève en attendant la tenue d’une assemblée générale prévue dans une semaine, rapporte l’Agence presse sénégalaise.
« J’ai demandé à mes camarades syndicalistes de différer leur grève, ce qu’ils ont accepté », a déclaré Cheikh Diop, membre du SNTPG et Secrétaire Général de la Confédération Nationale des Travailleurs du Sénégal/ Force du Changement (CNTS/FC), expliquant que c’est « une manière de permettre aux employeurs de rencontrer les syndicalistes et de discuter avec eux, afin de voir comment faire pour satisfaire les revendications des travailleurs ».
M. Diop a invité l’Etat à résoudre « les problèmes que connaissent les acteurs du secteur pétrolier et gazier ainsi que la situation qui prévaut à la Société Africaine de Raffinage (SAR) ». « Le secteur ne peut aller de l’avant sans la satisfaction de nos revendications. Il s’agit du blocage des négociations sur la convention collective du sous-secteur des transports d’hydrocarbures et de la lourdeur de la dette de plus de 100 milliards de francs CFA due par l’Etat et ses démembrements », a-t-il soutenu.
Plusieurs entreprises sénégalaises sont sur le point de fermer, a-t-il ajouté, notant que les sociétés étrangères installées au Sénégal aussi ne sont pas épargnées. Elles ne peuvent plus importer à cause de cette dette, affirme-t-il. « Les transporteurs aussi sont touchés par cette dette qui plombe l’avancée des entreprises. Il faut que l’Etat nous paie cet argent ou trouve une solution », a lancé M. Diop.
« J’ai demandé à mes camarades syndicalistes de différer leur grève, ce qu’ils ont accepté », a déclaré Cheikh Diop, membre du SNTPG et Secrétaire Général de la Confédération Nationale des Travailleurs du Sénégal/ Force du Changement (CNTS/FC), expliquant que c’est « une manière de permettre aux employeurs de rencontrer les syndicalistes et de discuter avec eux, afin de voir comment faire pour satisfaire les revendications des travailleurs ».
M. Diop a invité l’Etat à résoudre « les problèmes que connaissent les acteurs du secteur pétrolier et gazier ainsi que la situation qui prévaut à la Société Africaine de Raffinage (SAR) ». « Le secteur ne peut aller de l’avant sans la satisfaction de nos revendications. Il s’agit du blocage des négociations sur la convention collective du sous-secteur des transports d’hydrocarbures et de la lourdeur de la dette de plus de 100 milliards de francs CFA due par l’Etat et ses démembrements », a-t-il soutenu.
Plusieurs entreprises sénégalaises sont sur le point de fermer, a-t-il ajouté, notant que les sociétés étrangères installées au Sénégal aussi ne sont pas épargnées. Elles ne peuvent plus importer à cause de cette dette, affirme-t-il. « Les transporteurs aussi sont touchés par cette dette qui plombe l’avancée des entreprises. Il faut que l’Etat nous paie cet argent ou trouve une solution », a lancé M. Diop.
Autres articles
-
Migration irrégulière : une pirogue échoue à Soumbédioune, dix candidats arrêtées
-
Affaire Kocc Barma : l'enquête révèle les sordides mécanismes d'extorsion de contenus intimes
-
🔴Direct - Affaire des 125 milliards: Farba Ngom entendu aujourd'hui par le juge d’instruction du PJF
-
Bras de fer Médias-État : l'Appel envisage d’ester en justice pour réparation financière
-
Tivaouane : Seydi Gassama invite "l’Etat à arrêter les démolitions d’habitations" pouvant créer 500 sans abris




Migration irrégulière : une pirogue échoue à Soumbédioune, dix candidats arrêtées


