Le scrutin s'est déroulé dans le calme, avec de longues files d'attente dans certains bureaux de vote. Dans la capitale il n'y a eu aucun incident majeur. Plusieurs observateurs contactés par RFI ont confié d'ailleurs qu'ils n'avaient reçu aucune plainte de la part des candidats.
A l'intérieur du pays, des incidents isolés, assortis d'interpellations, ont eu lieu. lls ont été détaillés jeudi soir, au cours d'une conférence de presse donnée par le ministre de la Sécurité.
Certains habitants auraient également voté sans leur carte d'électeur. A la mi-journée jeudi, le président de la Commission électorale a d'ailleurs dû diffuser un communiqué pour rappeler qu'il était interdit de voter avec la seule carte d'identité.
Le dépouillement a débuté dès la fermeture des bureaux de vote, par endroit à la lueur des bougies ou des lampes à pétrole, et en présence de nombreux curieux. C'est une phase cruciale du processus électoral, tout comme la centralisation des données émanant des 35 préfectures du pays.
A ce sujet l'UFC, l'Union des Forces de changement, le principal parti d'opposition s'est dit inquiet jeudi soir de l'opacité du système de transmission des résultats. Le parti de Jean-Pierre Fabre, candidat à l’élection présidentielle, dénonce l'utilisation en dernière minute d'un nouveau procédé d'origine ivoirienne. Initialement tous les résultats devaient être transmis par un système satellite financé par les Nations unies.
A l'intérieur du pays, des incidents isolés, assortis d'interpellations, ont eu lieu. lls ont été détaillés jeudi soir, au cours d'une conférence de presse donnée par le ministre de la Sécurité.
Certains habitants auraient également voté sans leur carte d'électeur. A la mi-journée jeudi, le président de la Commission électorale a d'ailleurs dû diffuser un communiqué pour rappeler qu'il était interdit de voter avec la seule carte d'identité.
Le dépouillement a débuté dès la fermeture des bureaux de vote, par endroit à la lueur des bougies ou des lampes à pétrole, et en présence de nombreux curieux. C'est une phase cruciale du processus électoral, tout comme la centralisation des données émanant des 35 préfectures du pays.
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