Le Premier ministre sénégalais Soulayemane Ndéné Ndiaye
Le 24 mars dernier, l’une des ailes du MFDC (Mouvement des forces démocratiques de Casamance), celle dirigée par César Atoute Badiate, appelait à l’ouverture immédiate et sans préalable de « négociations sincères et globales » pour un retour définitif à la paix en Casamance.
Le Premier ministre sénégalais, en visite à l’intérieur du pays, a marqué à son tour la disponibilité des autorités pour des « concertations » avec le MFDC. « Ce que nous souhaitons, c’est que la paix règne partout au Sénégal y compris en Casamance et nous paierons le prix qu’il faut pour la paix. Nous sommes prêts à recevoir les dirigeants du MFDC dans des concertations, nous y travaillons. », a déclaré Souleymane Ndéné Ndiaye au micro de la Radio Futur Médias.
Le Premier ministre désavoue également Farba Senghor, un proche du président de la République qui avait cherché à discréditer l’appel à négocier des rebelles en assurant que des négociations existaient déjà grâce à lui. « Farba Senghor n’est pas un ministre. On ne peut engager un gouvernement que quand on a des attributs. Farba Senghor n’a aucun attribut officiel, il ne peut pas parler au nom du gouvernement ou engager le gouvernement. », a-t-il affirmé.
Le gouvernement et le MFDC avaient déjà posé les premiers jalons pour un retour à la paix en Casamance lors de négociations qui avaient eu lieu en décembre 2004 et février 2005. Mais depuis, le processus s’est enlisé, maintenant la région dans une situation de ni guerre, ni paix.
Le Premier ministre sénégalais, en visite à l’intérieur du pays, a marqué à son tour la disponibilité des autorités pour des « concertations » avec le MFDC. « Ce que nous souhaitons, c’est que la paix règne partout au Sénégal y compris en Casamance et nous paierons le prix qu’il faut pour la paix. Nous sommes prêts à recevoir les dirigeants du MFDC dans des concertations, nous y travaillons. », a déclaré Souleymane Ndéné Ndiaye au micro de la Radio Futur Médias.
Le Premier ministre désavoue également Farba Senghor, un proche du président de la République qui avait cherché à discréditer l’appel à négocier des rebelles en assurant que des négociations existaient déjà grâce à lui. « Farba Senghor n’est pas un ministre. On ne peut engager un gouvernement que quand on a des attributs. Farba Senghor n’a aucun attribut officiel, il ne peut pas parler au nom du gouvernement ou engager le gouvernement. », a-t-il affirmé.
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