"Fidélité, compétence, intégrité: la seule voie pour honorer le Projet Sonko-Diomaye".
Il est inadmissible de laisser certains marchands d’illusions s’exprimer impunément de manière irrespectueuse envers le Premier ministre. Ce silence face à ces attaques médiatiques devient insoutenable. Le poste de Premier ministre n’est pas une fonction anodine. Il incarne une institution centrale de notre République, le chef du gouvernement, bras droit du Président. Ousmane Sonko porte, en effet, un projet historique, tourné vers la souveraineté, la dignité et la prospérité du Sénégal. Il mérite, à ce titre, le respect et le soutien de tous ceux qui croient en cette vision. Nous devons cesser cette mascarade médiatique et nous concentrer sur l’essentiel basée sur la refondation stratégique de notre action politique, en vue de gouverner jusqu’en 2050 avec cohérence et loyauté pour un Sénégal prospère et juste.
Le rétablissement de la rigueur et l’intégrité représente des leviers non négligeables pour s'inscrire dans le progrès. Car, seule une gouvernance fondée sur la fidélité au combat, la compétence et l’intégrité pourra réellement transformer notre pays. Cette tâche est immense. Elle exige du leadership, de la rigueur et la capacité de restaurer la confiance collective. Malheureusement, certains individus, opportunistes notoires apparus entre 2021 et 2024, tentent aujourd’hui de s’imposer dans le pouvoir sans avoir partagé les épreuves du combat de notre glorieuse résistance. Ils sont motivés par la quête de privilèges et de confort personnel, parfois avec la complicité de ministres et directeurs généraux absents lors des heures sombres de la répression. Ils veulent diviser, asseoir leur autorité et protéger les fondements d’un système néocolonial que nous nous sommes engagés à démanteler. Ce sont les partisans des entités Pro-Sonko ou Pro-Diomaye.
Cependant, il est temps de changer de cap. Nous devons gouverner avec les patriotes sincères, nous-mêmes, qui ont résisté, combattu, souffert, été emprisonnés et parfois sacrifiés pour la survie du projet. Pas avec ceux qui ont insulté le combat ou déserté dans les moments cruciaux entre mars 2021 et juin 2023. Les intégrer aujourd’hui au cœur du pouvoir est une erreur politique majeure, source des tensions internes actuelles. C'est pourquoi il faut recentrer le projet autour du peuple, car les défis qui nous attendent sont énormes: sécuriser le pays et ses ressources, améliorer les conditions de vie des Sénégalais, bâtir un État de droit fort. La Vision2050 ne peut être réalisée sans clarification idéologique. Il faut assainir les rangs du PASTEF, purger les factions parasites et recentrer notre stratégie autour des valeurs fondamentales: loyauté, mérite, engagement populaire.
En somme, c’est le moment de valoriser les militants du terrain, du peuple, ceux qui incarnent la sincérité et la constance. La terre de nos ancêtres nous a tout donné. Il est temps de lui rendre ce qu’elle mérite. Le Sénégal ne peut se construire sur le mensonge, l’opportunisme et l’oubli. Il doit se construire sur la mémoire, le courage et la fidélité.
Maodo Ba Doba
Professeur
Membre de Moncap-France
Ex détenu politique
Il est inadmissible de laisser certains marchands d’illusions s’exprimer impunément de manière irrespectueuse envers le Premier ministre. Ce silence face à ces attaques médiatiques devient insoutenable. Le poste de Premier ministre n’est pas une fonction anodine. Il incarne une institution centrale de notre République, le chef du gouvernement, bras droit du Président. Ousmane Sonko porte, en effet, un projet historique, tourné vers la souveraineté, la dignité et la prospérité du Sénégal. Il mérite, à ce titre, le respect et le soutien de tous ceux qui croient en cette vision. Nous devons cesser cette mascarade médiatique et nous concentrer sur l’essentiel basée sur la refondation stratégique de notre action politique, en vue de gouverner jusqu’en 2050 avec cohérence et loyauté pour un Sénégal prospère et juste.
Le rétablissement de la rigueur et l’intégrité représente des leviers non négligeables pour s'inscrire dans le progrès. Car, seule une gouvernance fondée sur la fidélité au combat, la compétence et l’intégrité pourra réellement transformer notre pays. Cette tâche est immense. Elle exige du leadership, de la rigueur et la capacité de restaurer la confiance collective. Malheureusement, certains individus, opportunistes notoires apparus entre 2021 et 2024, tentent aujourd’hui de s’imposer dans le pouvoir sans avoir partagé les épreuves du combat de notre glorieuse résistance. Ils sont motivés par la quête de privilèges et de confort personnel, parfois avec la complicité de ministres et directeurs généraux absents lors des heures sombres de la répression. Ils veulent diviser, asseoir leur autorité et protéger les fondements d’un système néocolonial que nous nous sommes engagés à démanteler. Ce sont les partisans des entités Pro-Sonko ou Pro-Diomaye.
Cependant, il est temps de changer de cap. Nous devons gouverner avec les patriotes sincères, nous-mêmes, qui ont résisté, combattu, souffert, été emprisonnés et parfois sacrifiés pour la survie du projet. Pas avec ceux qui ont insulté le combat ou déserté dans les moments cruciaux entre mars 2021 et juin 2023. Les intégrer aujourd’hui au cœur du pouvoir est une erreur politique majeure, source des tensions internes actuelles. C'est pourquoi il faut recentrer le projet autour du peuple, car les défis qui nous attendent sont énormes: sécuriser le pays et ses ressources, améliorer les conditions de vie des Sénégalais, bâtir un État de droit fort. La Vision2050 ne peut être réalisée sans clarification idéologique. Il faut assainir les rangs du PASTEF, purger les factions parasites et recentrer notre stratégie autour des valeurs fondamentales: loyauté, mérite, engagement populaire.
En somme, c’est le moment de valoriser les militants du terrain, du peuple, ceux qui incarnent la sincérité et la constance. La terre de nos ancêtres nous a tout donné. Il est temps de lui rendre ce qu’elle mérite. Le Sénégal ne peut se construire sur le mensonge, l’opportunisme et l’oubli. Il doit se construire sur la mémoire, le courage et la fidélité.
Maodo Ba Doba
Professeur
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