
Birahime Seck, coordonnateur du Forum Civil, se dit satisfait du bon déroulement du scrutin tenu dimanche dernier. Invité ce mardi 19 novembre de l'émission Salam Sénégal sur Radio Sénégal International (RSI), il a salué l'organisation globale des élections.
Pour cette 15e législature, M. Seck a exprimé son souhait de voir une véritable rupture dans le fonctionnement de l'Assemblée nationale. Selon lui, cette institution a une belle occasion de mener afin sa mission de contrôle des politiques publiques.
« Les élections se sont, de manière générale, déroulées dans un climat apaisé et calme, sans que le scrutin ne souffre de problèmes de transparence ou d’irrégularités », a déclaré Birahime Seck. Pour lui, cela a permis aux « citoyens d’exercer leur droit de vote de manière libre, car l’administration électorale a joué son rôle ».
Le coordonnateur du Forum Civil souhaite une « Assemblée de rupture, une assemblée qui se réconcilie avec les Sénégalais. On voudrait qu’il y ait des députés qui se conforment à la loi constitutionnelle et au règlement intérieur ».
Birahime Seck veut que les « députés exercent dans leur plénitude les prérogatives que leur confère le règlement intérieur par la mise en place d’enquête parlementaire par des prises de position sous forme de questions orales de questions, mais surtout une liberté d’action des commissions en particulier la commission de comptabilité et la commission qui se charge de faire l’évaluation des politiques publiques ».
« Nous souhaitons fondamentalement que les parlementaires se consacrent à l’évaluation des projets, car nous sommes à l’ère de la mise en œuvre des budgets et des programmes », a-t-il ajouté.
Interrogé sur ses attentes concernant le profil du futur président de l’Assemblée nationale, Birahime Seck espère une « Assemblée de rupture, avec un président capable de redonner de la dignité à l’Assemblée nationale et de répondre aux attentes aussi bien du pouvoir que de l’opposition, au bénéfice des citoyens ».
Pour cette 15e législature, M. Seck a exprimé son souhait de voir une véritable rupture dans le fonctionnement de l'Assemblée nationale. Selon lui, cette institution a une belle occasion de mener afin sa mission de contrôle des politiques publiques.
« Les élections se sont, de manière générale, déroulées dans un climat apaisé et calme, sans que le scrutin ne souffre de problèmes de transparence ou d’irrégularités », a déclaré Birahime Seck. Pour lui, cela a permis aux « citoyens d’exercer leur droit de vote de manière libre, car l’administration électorale a joué son rôle ».
Le coordonnateur du Forum Civil souhaite une « Assemblée de rupture, une assemblée qui se réconcilie avec les Sénégalais. On voudrait qu’il y ait des députés qui se conforment à la loi constitutionnelle et au règlement intérieur ».
Birahime Seck veut que les « députés exercent dans leur plénitude les prérogatives que leur confère le règlement intérieur par la mise en place d’enquête parlementaire par des prises de position sous forme de questions orales de questions, mais surtout une liberté d’action des commissions en particulier la commission de comptabilité et la commission qui se charge de faire l’évaluation des politiques publiques ».
« Nous souhaitons fondamentalement que les parlementaires se consacrent à l’évaluation des projets, car nous sommes à l’ère de la mise en œuvre des budgets et des programmes », a-t-il ajouté.
Interrogé sur ses attentes concernant le profil du futur président de l’Assemblée nationale, Birahime Seck espère une « Assemblée de rupture, avec un président capable de redonner de la dignité à l’Assemblée nationale et de répondre aux attentes aussi bien du pouvoir que de l’opposition, au bénéfice des citoyens ».
Autres articles
-
Accusation contre Macky Sall : la demande de Guy Marius Sagna reste sans suite officielle
-
Trafic international de drogue : 250 kg de cocaïne en provenance de Dakar saisis par la douane française
-
Abdou Mbow répond à Waly Diouf Bodian sur les libération sous caution « c’est un vigile de salon »
-
Gestion des fonds Covid : Mamadou Lamine Diallo salue la saisine de la justice et charge l’APR
-
Mise en accusation de cinq ministres : Abdou précise que l’Assemblée n’est pas encore saisie