La rumeur sur une coupure d’eau dans la capitale sénégalaise était si persistante que la Direction de la Sénégalaise des Eaux (SDE) a été obligée de monter au créneau pour mettre les choses au clair. Pourtant le « fake news » est bien fondé, si l’on en croit aux sources officielles qui requièrent l’anonymat dans le quotidien « L’As ».
Elles affirment dans le journal l’existence de bulletins d’alertes de renseignement faisant état d'un sabotage du réseau de la production de l’eau, par des travailleurs de la SDE, pour exiger à l’Etat de 15% dans la capital.
Les travailleurs de la SDE réclament une augmentation de 15% des parts de l’État à la suite du nouveau contrat d’affermage accordé à Suez. Dans ce nouveau contrat, il est mentionné que l’État détient 25% du capital, le nouveau fermier 45%, les employés de la Sde se contenteront de 5% et l’actionnariat populaire 25%.
Mais, les travailleurs de la Sde jugent les 5% relativement faibles et exigent une augmentation du pourcentage pour une meilleure représentation dans le Conseil d’administration.
La réforme du secteur de l’eau en 1996 avait consacré 5% du capital à l’État, 5% aux agents du secteur (Sones, Sde et Onas), 57,83% à la Sde et 32,17% aux privés sénégalais. Mais les travailleurs de la Sde jugent les 5% relativement faibles et exigent une augmentation du pourcentage pour une meilleure représentation dans le Conseil d’administration.
Elles affirment dans le journal l’existence de bulletins d’alertes de renseignement faisant état d'un sabotage du réseau de la production de l’eau, par des travailleurs de la SDE, pour exiger à l’Etat de 15% dans la capital.
Les travailleurs de la SDE réclament une augmentation de 15% des parts de l’État à la suite du nouveau contrat d’affermage accordé à Suez. Dans ce nouveau contrat, il est mentionné que l’État détient 25% du capital, le nouveau fermier 45%, les employés de la Sde se contenteront de 5% et l’actionnariat populaire 25%.
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