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Les cadres du parti Rewmi étalent les pratiques aux antipodes d’une gestion «sobre et vertueuse»

Les cadres du parti Rewmi n’entendent pas accepter le report des élections locales. Ils comptent déployer une armada pour contrecarrer cette volonté du pouvoir en place. Le secrétariat national des cadres de Rewmi a, lors de sa réunion de vendredi dernier, dénoncé les pratiques en cours qui de plus en plus font légion et jurent d’avec la gestion sobre et vertueuse promise par Macky Sall.



Les cadres du parti Rewmi étalent les pratiques aux antipodes d’une gestion «sobre et vertueuse»
C’est avec fermeté que les cadres du parti de Rewmi ont dénoncé le report des élections locales. Réuni ce vendredi 06 décembre, le secrétariat national des cadres de Rewmi veut mettre toutes ses forces dans la bataille de la lutte contre le report. Dans un communiqué, le secrétariat du parti a affirmé «son opposition à cette mesure antirépublicaine qui bafoue les exigences du calendrier électoral au profit de bas calculs politiciens ».

Dans un élan des contestations, les membres du secrétariat national ont jugé « cette décision unilatérale comme une atteinte aux fondamentaux de notre démocratie qui implique la concertation sur des questions relatives aux élections. »

D’un autre côté, les « éminences grises », du parti de Idrissa Seck n’y sont pas allés du dos de la cuillère pour s’attaquer «à la gabegie au plus haut sommet de l’Etat. Les camarades de Déthié Fall ont condamné  «fermement  la bamboula instaurée au sommet de l'Etat avec des dépenses faramineuses faites à l'occasion de l'anniversaire du Parti-État, l'APR, au moment où, paradoxalement, la reconnaissance d'un état de pauvreté accrue des populations a poussé les autorités à distribuer des bourses familiales ».

Le secrétariat national présidé par M. Dethié Fall, s’est aussi réjoui « des journées de lancement de montage des secteurs dans les collectivités à l’intérieur  du pays et exhorte les responsables du parti à davantage descendre à la base pour mobiliser les militants et préparer les échéances électorales à venir ».

Par ailleurs, les cadres de Rewmi s’associent à la douleur de la disparition de Nelson Mandela, figure emblématique de la lutte anti-apartheid. Ils lui ont rendu hommage en « s’inclinant devant sa mémoire et en exprimant toute leur douleur et s'associent au concert de prières et d'hommages du monde ».

Ibra Badiane

Lundi 9 Décembre 2013 - 13:16


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1.Posté par Les amis avant la patrie le 10/12/2013 01:27
«LA JUSTICE DOIT FAIRE LA LUMIERE SUR L’ARGENT INJECTE DANS L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR »
BIRAHIM SECK DU FORUM CIVIL
sur seneplus
la-justice-doit-faire-la-lumiere-sur-l%E2%80%99argent-injecte-dans-l%E2%80%99enseignement-superieur
Publication 16/09/2013

Actuellement, la polémique fait rage entre le Saes et ministère de l’Enseignement Supérieur sur l’utilisation des milliards injectés dans l’enseignement privé pour l’orientation des bacheliers. Qu’est ce que cela vous inspire ?

Le Saes a tout à fait raison de demander des comptes au gouvernement sur l’argent injecté dans l’enseignement supérieur pour la prise en charge des bacheliers orientés dans les universités privées. Les dirigeant du Saes n’ont usé que des dispositions des
articles 14 et 15 de la Déclaration des droits de l’Homme et des peuples qui fait partie intégrante du préambule de notre constitution qui prône la bonne gouvernance et la transparence. Il ne devrait y avoir même pas de polémique. Les autorités devraient
même rendre compte avant que le Saes ne le demande. Les étudiants également doivent demander des comptes parce que les services sont pour eux.

De plus, mon étonnement est plus grand sur le silence affiché par le gouvernement par rapport aux différents audits publiés sur l’enseignement supérieur qui intéressent les autorités de l’enseignement supérieur et au plus haut niveau. C’est grave et inquiétant au moment où nous dit que l’Etat veut injecter 302 milliards dans le domaine de l’enseignement supérieur.

La justice traque des citoyens sénégalais et quand on produit des audits qui intéressent les membres du gouvernement ou des administrateurs, l’Etat ferme les yeux. Ce sont ces pratiques que les Sénégalais ont combattues. La justice sénégalaise doit également faire la lumière sur l’argent injecté dans l’enseignement supérieur. Les rapports d’audit sont là.

Cependant la Banque mondiale est également interpellée car il ne sera logique ni acceptable que de l’argent soit à nouveau injecté sans que la vérité ne soit connu sur les faits invoqués dans ces rapports d’audit sur l’enseignement supérieur.

Le Saes est bien dans son rôle et il appartient à l’Etat d’éclairer les Sénégalais si on veut avoir un enseignement supérieur de qualité dans un espace de sérénité et de lumière.
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LE RAPPORT D’AUDIT QUI MET À NU LA GESTION DE MARY TEUW NIANE
(rapport commandité conjointement par les ministères de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et de l’Économie et des Finances, sur financement de la Banque mondiale)
sur ndarinfo
UGB-de-Saint-Louis-Le-rapport-d-audit-qui-met-a-nu-la-gestion-de-Mary-Teuw-Niane

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«MARY TEUW NIANE MENE LE PRESIDENT DROIT AU MUR»
SEYDI ABABACAR NDIAYE, SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DU SAES
Oumar KANDE | Publication 23/08/2013
sur seneplus «mary-teuw-niane-mene-le-president-droit-au-mur »

« Seydi Ababacar Ndiaye, continuant son interpellation, demande quelle suite sera donnée à l’audit des universités où il a été noté une mauvaise gestion généralisée, «y compris la gestion du ministre actuel quand il était recteur de l’Ugb».

«Est-ce qu’on peut continuer à faire confiance à des dirigeants qui ont été épinglés par différents rapports ? IL Y A AUSSI UN AUTRE DOCUMENT COMMANDITÉ PAR L’ACTUEL RECTEUR DE L’UGB AU NIVEAU DE LA DÉLÉGATION POUR LA RÉFORME DE L’ETAT ET DE L’ASSISTANAT TECHNIQUE (DREAT), QUI ÉPINGLE LE MÊME MINISTRE.

Ce document à montré que l’actuel ministre de l’Enseignement supérieur, quand il était recteur à l’Ugb, son jeu favori c’était de créer des postes de responsabilité, de direction. Il en avait créé dix-neuf dans une petite université comme l’Ugb et il y avait des conséquences sur la masse salariale car tous ces directeurs avaient l’équivalent d’un million d’indemnité.

Ces manquements devraient édifier qu’il faut faire les bonnes enquêtes et prendre les individus qu’il faut pour les missions importantes.

Quelqu’un qui dirige une simple université et qui a ces types de comportement, on lui confie le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Il y a lieu de se poser des questions», a dit Seydi Ababacar Ndiaye. »

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