C’est dans les environs de la ville de Kidal que des casques bleus de l’ONU ont retrouvé Édith Blais et Luca Tacchetto. La ressortissante canadienne et son ami italien ont tout de suite été mis sous la protection de la délégation de la mission de l’ONU à Kidal, ville sous contrôle des ex-rebelles.
« Les deux se portent bien », nous a confié une source qui a pu brièvement les rencontrer. Et s’ils sont libres aujourd’hui, c’est surement aussi à cause de leur bravoure. Ils auraient en réalité pris la fuite. Marchés sur plusieurs kilomètres. Dans les environs de la ville de Kidal, ils ont hélé un civil, qui les a accompagnés à la représentation locale de la mission de l’ONU au Mali. De Bamako, le patron de la mission Mahamat Saleh Anadif est rentré en contact téléphonique avec eux. Le retour à Bamako a été organisé et ils y sont arrivés ce samedi 14 mars à midi. Anadif a tenu à les remettre d’abord aux autorités maliennes.
Le ministre des Affaires étrangères Tiébilé Dramé qui les accueillis s'exprime au micro de notre correspondante à Bamako, Coralie Pierret : « Je voudrais insister sur le dénouement heureux, sur le courage de ces jeunes qui ont été privés de liberté pendant quinze mois dans le désert. »
Pas de négociations avec les ravisseurs
Mahamat Saleh Anadif, chef de la Minusma, assure de son côté qu’il n'y a pas eu de négociations avec les ravisseurs.
« Les deux se portent bien », nous a confié une source qui a pu brièvement les rencontrer. Et s’ils sont libres aujourd’hui, c’est surement aussi à cause de leur bravoure. Ils auraient en réalité pris la fuite. Marchés sur plusieurs kilomètres. Dans les environs de la ville de Kidal, ils ont hélé un civil, qui les a accompagnés à la représentation locale de la mission de l’ONU au Mali. De Bamako, le patron de la mission Mahamat Saleh Anadif est rentré en contact téléphonique avec eux. Le retour à Bamako a été organisé et ils y sont arrivés ce samedi 14 mars à midi. Anadif a tenu à les remettre d’abord aux autorités maliennes.
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